🐗 C Est Encore Mieux L Après Midi Theatre

Aprèsun premier essai mordu, Kevin Mayer a assuré dans le deuxième avec un bond à 7,51 m, sa meilleure performance cette saison, avant de faire un peu mieux encore au troisième (7,54 m

Informations Ce spectacle n’est plus disponible Restez informés sur les prochaines dates Ce spectacle n’est plus disponible Restez informés sur les prochaines dates Présentation Après un triomphe au Théâtre Hébertot, retrouvez la comédie délirante et revigorante, C'est encore mieux l'après-midi, au Théâtre des Nouveautés ! Sur les planches, une distribution en or, José Paul, Lysiane Meis ou encore Sébastien Castro. La comédie la plus folle et la plus drôle du génie anglais Ray Cooney…adaptée par le génie français de la comédie Jean Poiret ! Dans un hôtel proche de l’Assemblé Nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec sa secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Mais la présence de sa femme dans le même hôtel et la maladresse chronique de son assistant vont déchainer les catastrophes et toute une série de quiproquos hilarants ! Les reports et les annulations ne sont pas autorisés pour ce spectacle. *Bénéficiez d'une coupe de champagne offerte et d'un tarif exclusif en choisissant le tarif "1ère catégorie Exception./ Une coupe de champagne offerte". Offre valable dans la limite des places disponibles Photos & Vidéos C'EST ENCORE MIEUX L'APRES-MIDI AVEC SEBASTIEN CASTRO ET JOSE PAUL Theatre des Nouveautés - Avis des spectateurs 101 Rédiger Un Avis merveilleuse pièce! nous avons passez un excellent moment,les acteurs sont délicieux et délicieuses, je recommande autour de moi à tous mes amis! à très bientôt! claudine - 14/01/2018 Théâtre des nouveautés Très bon spectacle, des quiproquos hilarants Bim 36 - 11/01/2018 c'est encore mieux l'apres midi Nous avons passé un délicieux moment ; je recommande cette pièce à tous ceux qui ont envie de passer 1 moment agréable et distrayant soizic - 11/01/2018 Théâtre Super Jacky - 11/01/2018 Un pur moment de plaisir Chapeau, très belle vrais éclats de rire!Au lieu de regarder les infos de 20h allez au théâtre, avec cette pièce votre soirée air été un pur moment de bien être... Kate - 11/01/2018 VOIR TOUS LES AVIS DES SPECTATEURS ça peut également vous interesser ASSURANCE REMBOURSEMENT PLACES SUR PLAN SERVICE CLIENT PAIEMENT SÉCURISÉ Newsletter Ne manquez aucun bon plan ! Avec notre newsletter hebdomadaire Les informations recueillies ci-dessus sont destinées à Ticketac afin de vous adresser notre newsletter. Vous pouvez à tout moment modifier vos préférences et vous opposer à recevoir des offres par courrier électronique en utilisant le lien de désabonnement figurant dans chaque message provenant de notre société, demander à accéder, à faire rectifier ou à faire supprimer, les informations vous concernant traitées par notre société. Pour exercer vos droits auprès de notre société, écrivez à dpo Pour en savoir plus sur vos droits, consultez notre Politique de Confidentialité.
Cest encore mieux l'après-midi Auteur (s) Ray Cooney 12,00 € Le livre Résumé Un député, Richard Marchelier, et son épouse Christine séjournent dans un hôtel parisien. Il espère passer l’après-midi avec la secrétaire du Premier ministre tandis que Christine, qui devait aller au théâtre, préfère se rapprocher de Georges, le secrétaire de
Comédien dans le rôle de… Loïc Delourme Richard Marchellier Chantal Le Quéré Christine Marchellier Karine Le marchand La réceptionniste Jean-Marie Tillon Le réceptionniste Huguette Décosse Florentine Duray Paul Guillo Le directeur de l’Hôtel Pierrick Trobodet Georges Pigier Christelle Tostivint Maria Stéphanie Delourme Stéphanie Margelle Julien Homo Edouard Margelle Le voici donc ce troisième millénaire tant attendu. Maintes fois nous vous avons parlé de la future salle ». Eh bien, le futur est devenu présent. Les locaux mis à notre disposition nous permettent de vous présenter cette année un spectacle d’une qualité supérieure aux années précédentes. Grâce aux nombreux bénévoles qui ont répondu présent à nos différents appels, nous avons pu réaliser des décors modulables, qui nous permettent de jouer sur plusieurs tableaux. Si bien que sans bouger de votre fauteuil, nous vous proposons de vivre un moment inoubliable dans ce fabuleux hôtel parisien. Votre fidélité, vos encouragements depuis 20 ans méritaient bien un tel cadeau. Patrice Aubry
Cest encore mieux l'après-midi - Cooney, Ray, Rouzière, Jean-Michel, Poiret, Jean et des millions de romans en livraison rapide . Continuer sans accepter. Choisir vos préférences en matière de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nécessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour améliorer vos expériences d'achat et
Spectacle de Pierre Mondy 2 h 30 min 6 février 1987 FranceGenre ComédieCasting acteurs principaux Pierre Mondy, Jean Rougerie, Jacques VilleretGroupe C'est encore mieux l'après midiPays d'origine Royaume-UniCasting complet et fiche technique"Un député, Richard Marchelier, et son épouse Christine séjournent dans un hôtel parisien. Il espère passer l’après-midi avec la secrétaire du Premier ministre tandis que Christine, qui devait aller au théâtre, préfère se rapprocher de Georges, le secrétaire de son mari. C’était sans se douter que Florentine Duray, membre de l’opposition, pouvait se trouver dans le même hôtel. Les portes claquent, les baignoires débordent, les hommes se cachent derrière les portes, les femmes sous des... Voir plus
FlanerBouger agenda : C'est encore mieux l'après-midi au Grand théAtre. « C'est encore mieux l'après-midi » au Grand théâtre 81000 Albi Dan Se connecter; S'enregistrer; Proposer un évènement; Nous suivre ; Actuellement, 171317 sorties sont proposées en France. La recherche . Allez-y. C'est encore mieux l'après-midi au Grand Par Marine S. Publié le 2 février 2017 à 09h52 Le Théâtre Hébertot présente C'est encore mieux l'après-midi, une pièce de l'anglais Ray Cooney présentée dès le 23 février 2017. Au programme, un défilé de quiproquos et un soupçon de politique. Ray Cooney, un des plus grands dramaturges anglais, écrit en 1984 cette pièce, Two into one, au Shaftesbury Theatre à Londres. Depuis, elle est souvent reprise, notamment en 2014 au Menier Chocolate Factory à Londres où le Guardian mettait en évidence l'inspiration immense que Georges Feydeau avait pu avoir sur l'écriture de ce texte et surtout, dans sa dramaturgie. L'adaptation française, on la doit à Jean Poiret et c'est cette adaptation-là qui est utilisée sur la scène du Théâtre Hébertot par le metteur en scène José Paul. C'est encore mieux l'après-midi se tient dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale. Un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Tout aurait pu rester secret si sa femme ne s'était pas elle-même trouvée dans le même hôtel, au même moment, accompagnée d'un assistant à la maladresse maladive... Quiproquos, tromperies, mensonges aucun doute, tous les ingrédients de Feydeau sont bien là. En pleine période d'élections et de scandales politiques, c'est habile ! Infos pratiques À lire aussiQue faire ce week-end à Paris avec les enfants, ces 20 et 21 août 2022Que faire cette semaine à Paris du 22 au 28 août 2022C'est encore mieux l'après-midi, au Théâtre Hébertot, du 23 février au 4 juin 2017. Du mardi au samedi à 21H, le samedi à 16H30 et le dimanche à 15H. Tarifs de 15 à 48€ Réservations 01 43 87 23 23 ThéâtreHébertot, 75017 Paris C'est encore mieux l'après-midi avec Pierre Cassignard et Lysiane Meis Théâtre Hébertot, Paris - Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle - En ce moment dans cette salle : Les parents terribles L'importance d'être constant 12 hommes en colère Fiche événement Critiques © © ©
Député de province, Richard est à Paris pour assister à un important débat parlementaire. Avec son épouse Christine qui a beaucoup insisté pour l'accompagner cette fois-ci, ils sont descendus à l'hôtel de l'Hémicycle à deux pas de l'Assemblée. Alors qu'ils terminent de déjeuner, Richard semble particulièrement soucieux que sa femme ne manque pas le début d'une représentation à la Comédie Française pour laquelle il lui a pris un billet. C'est que celui-ci, en lieu et place du débat, compte bien cette après-midi retrouver la jolie secrétaire du Premier Ministre avec qui il a rendez-vous. Le député charge Georges, son jeune attaché parlementaire plein de bonne volonté mais d'une rare maladresse, de gérer la logistique de cet adultère en réservant une chambre supplémentaire sous un nom d'emprunt. Les choses ne vont pas se passer comme prévu, d'autant que Christine, que Georges ne laisse pas indifférente, choisit de ne pas se rendre au théâtre pour rester avec lui. Vaudeville pur jus, comédie rythmée menée tambour battant C'est encore mieux l'après-midi s'assume en divertissement pas très fin mais plein d'énergie. L'intrigue classique entre vite en surchauffe reprenant tous les codes du boulevard dans la frénésie d'une mécanique bien huilée. Pourtant, les outrances du texte dans la grivoiserie à la papa, la misogynie latente en font une pièce tout à fait datée qui manque singulièrement de modernité malgré la mise en scène nerveuse pensée par José Paul. Plus qu'agaçants, les rôles féminins particulièrement niaiseux versent dans la caricature absolue. On repassera pour le féminisme. Sur le thème de l'adultère, cocufiage à tous les étages, les situations ubuesques peu vraisemblables s'enchaînent sur l'air classique du mari, la femme, la maîtresse - et l'amant. Mais on a du mal à se passionner pour ses frasques idiotes. Pierre Cassignard, qui interprète l'odieux député libidineux et Lysiane Meis qui compose une épouse volage évaporée, en font des tonnes. Dans l'idée de renforcer l'effet burlesque sans y parvenir, ils surjouent volontairement leur partition. Le résultat est bien lourd. Seul Sébastien Castro, tout à fait irrésistible, sort son épingle du jeu. Objectivement très bon dans son rôle d'attaché parlementaire gaffeur, un naïf dont les maladresses font lamentablement échouer la délicate mission. Les seconds rôles font le job, sans vague. L'engrenage rocambolesques des mensonges, l'enchaînement de catastrophes et quiproquos, la répétition des pirouettes lassent très vite d'autant qu'on peine à s'attacher à des personnages pas franchement intéressants. La pièce écrite au début des années 80 peine à s'ancrer dans notre époque hormis un décor modulable assez beau qui modernise le grand ballet des portes qui claquent. Sans m'être tout à fait ennuyée, je n'ai pas ri du tout. Ce qui est, vous en conviendrez, fort dommageable pour une comédie. Je passe, donc. Visiblement destiné aux seniors, ce spectacle plaira sans doute aux amateurs du genre. Pourquoi pas, si vous aviez envie de faire plaisir à votre Jean-Marie PoiretMise en scène de José PaulAvec Pierre Cassignard, Lysiane Meis, Sébastien Castro, Guilhem Pellegrin, Pascale Louange, Guillaume Clérice, Rudy Milstein et Anne-Sophie GermanazDu mardi au samedi à 21h - Samedi 16h30 et dimanche 15h00Théâtre Hébertot78 bis boulevard des Batignolles - Paris 17Tél 01 43 87 23 23 Suggestions de lecture

Cest encore mieux l'après-midi. Dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un

COUPS DE COEUR THEATRE C’est encore mieux l’après-midi » avec Sébastien Castro à l’Opéra de Toulon le 16 février 2019 INTERVIEW DE SÉBASTIEN CASTRO ICI ! Dessus dessous _ Fortement remarqué, il y a dix ans, par les amateurs de théâtre grâce à la pièce Le comique de Pierre Palmade, Sébastien Castro n’a depuis cessé d’enchaîner les rôles… De Lady Oscar à L’Étudiante et Monsieur Henri en passant par Moi, moi et François B. et la reprise du Prénom sur les planches, il a su imposer un style, une diction et un personnage théâtral jusque là encore jamais exploré. Avec des airs de Droopy, un flegme mais aussi une prestance très britanniques accompagnés d’un regard faussement ingénu, le jeu de ce comédien ne peut que séduire ceux qui regrettent le temps des Louis de Funès, Maria Pacôme ou encore Jacques Villeret… Reprenant d’ailleurs l’un des rôles indossés par ce dernier, c’est dans la pièce de Ray Cooney – C’est encore mieux l’après-midi – que l’oiseau rare » a choisi de se poser… Mais si vous avez eu l’occasion de découvrir cette pièce à l’époque où elle réunissait sur scène Pierre Mondy, Jacques Villeret, Michèle Laroque et Virginie Pradal, ne vous attendez pas à retrouver une copie conforme trente ans plus tard. Car si le propos est resté le même, la mise en scène signée par José Paul qui succède dans la pièce à Pierre Mondy et les décors ont évidemment été modernisés pour coller aux modes d’aujourd’hui. Dans la peau d’un assistant toujours aussi gaffeur mais moins survolté que ne l’était celui de son prédécesseur, Sébastien Castro se retrouve à devoir, dans la pièce, couvrir un député afin d’éviter que son couple et un scandale n’explosent en même temps ! Car plutôt que de se rendre comme prévu à l’Assemblée nationale, celui-ci s’est organisé une partie de jambes en l’air avec la secrétaire du Premier ministre dans le même hôtel que celui dans lequel il est descendu en compagnie de son épouse ! Bien que comptant sur la loyauté sans faille de son subordonné, l’homme politique devrait rencontrer quelques difficultés pour mener à bien son projet d’adultère… © Morgane Las Dit Peisson
Notes) : Ces documents ne peuvent être reproduits sans l'autorisation du directeur du Département des Arts du spectacle de la BNF. Lien au spectacle : C'est encore mieux l'après-midi / mise en scène de Pierre Mondy. - Paris : Théâtre des Variétés, 19870206 Voir toutes les notices liées . Identifiant de la notice : ark:/12148/cb436665767

Il en va des écrivains comme des hommes politiques il arrive que leur vie privée empiète sur leur domaine d’élection, au point de créer des imbroglios allant du non-dit à l’allusif, de la périphrase au déballage. La suite après la publicité Rosalie Vetch, la future Ysé Paul Claudel a eu une fille avant son mariage, Louise, qui n’a jamais porté son nom. Cette Louise aurait pu rester dans le domaine réservé de la vie privée, la compréhension de l’œuvre de Claudel n’en aurait pas vraiment souffert. Il en va tout autrement pour ce qui est de la mère de Louise, Rosalie Vetch, le grand amour de Claudel, celle qui partage la vie de l’auteur en deux et lui dicte si l’on peut dire Le Partage de midi » – Ysé c’est elle – avant de hanter Le Soulier de satin » – Prouhèze, c’est encore elle. Cette articulation affirmée entre l’œuvre et la vie est l’un des apports principaux de la nouvelle édition du Théâtre » de Claudel dans la collection de la Pléiade et de l’album qui l’accompagne. Une première édition avait été publiée en 1947, deux autres allaient suivre, la dernière revue et augmentée » en 1967 par Jacques Madaule et Jacques Petit. A l’exception de deux courts textes, le corpus de la nouvelle édition, sous la direction de Didier Alexandre et de Michel Autrand, est identique aux éditions précédentes, à ceci près que l’ordre adopté est celui de la chronologie de l’ suite après la publicité Une édition sans non-dits La nouveauté est dans les gros appendices qui multiplient les textes autour » des œuvres, dans les notes bien plus conséquentes, dans la synthèse qui est faite du dernier Claudel, celui qui se tourne vers l’acteur, la scène et réécrit ses pièces en conséquence. Bref, dans tout l’habillage qui fait la réputation de la Pléiade. A commencer par la chronologie de la vie de l’auteur. Là, mieux qu’une amélioration, c’est une révolution. Dans la chronologie de 1967, le nom de Rosalie Vetch n’apparaît pas. Il est dit qu’à la fin 1900 ou début 1901, Claudel part pour la Chine à bord de l’Ernest-Simons. » Suit cette maigre mention Rencontre d’Ysé ». Sans autre explication. Les auteurs savent de qui ils parlent, mais le lecteur ? Pour ce dernier, Ysé c’est le nom du personnage féminin du Partage de midi », pièce que Claudel écrira beaucoup plus tard. Ce n’est pas Ysé que Claudel rencontre mais son modèle, son inspiratrice, Rosalie, sa Rose. Le lecteur est laissé dans l’imprécision, la confusion. Le Quai d’Orsay s’émeut... » Rien de tel désormais. La chronologie de la nouvelle édition, tout en précisant en préambule que les événements de la vie privée sont réduits au minimum » comprendre ce qui va être dit doit être dit évoque, sans détour et sans fard, la rencontre de Claudel avec le couple Vetch et leurs quatre enfants sur le bateau qui vogue vers la Chine. Et ce qui s’en suivit un amour fou. La suite après la publicité Claudel à l’époque où il rencontre sa Rose » DR. Il est clairement dit que Rosalie va devenir la maîtresse de Claudel », consul à Fou-tcheou, que tout cela ira beaucoup plus loin puisqu’en 1903, lit-on dans la suite de la chronologie 2011 faits passés aussi sous silence dans les éditions précédentes Le Quai d’Orsay s’émeut de la situation scandaleuse créée par l’association de Claudel et de Francis Vetch dans des projets économiques, par l’adultère de Claudel et de Rosalie Vetch, et par l’installation de cette dernière dans la maison consulaire. » Une enquête est diligentée, lit-on encore. Philippe Berthelot, alors secrétaire d’ambassade chargé d’une mission en Extrême-Orient, étouffera l’affaire. Une durable amitié naît entre Claudel et le couple Berthelot. Elle part, il commence son Journal » Enceinte de Claudel, Rosalie Vetch quitte la Chine en août 1904 et ne donnera plus de ses nouvelles pendant treize ans. Claudel vit ce silence elle lui renvoie ses lettres comme une trahison Et voici que, comme quelqu’un qui se détourne, tu m’as trahi, tu n’es plus nulle part, ô Rose ! ». La suite après la publicité C’est dans cette période que l’idée du Partage de midi » va germer et c’est au lendemain du départ de l’être aimé qu’il commence à tenir son Journal ». Premières lignes Son départ - 1er août 1904. Commencé à Fou-tcheou, septembre 1904. Naissance de Louise 22 janvier 1905 [ligne ajoutée plus tard bien sûr, ndlr]. Fendre la muraille du cœur humain. » Dans la présentation de ce Journal », paru en 1968 dans la Pléiade, le nom de Rosalie n’apparaît toujours pas, on ne parle que d’Ysé. Il est vrai Claudel use souvent du nom d’Ysé pour évoquer Rosalie-Rose tant l’être et le personnage sont inséparables. Ysé sait qu’elle est séparée de Mesa [Claudel] pour toujours », lit-on dans l’introduction censée dire des faits et qui amalgame la vie et la fiction comme un romancier. Quand Rose lui écrira après treize ans de silence lettre qui aura son pendant dans la lettre à Rodrigue du Soulier de satin » qui mettra dix ans avant d’arriver, Claudel mentionne probablement son nom dans le Journal », mais dans la transcription pour la Pléiade, le nom est étrangement remplacé par un sic ». Et une lettre que Claudel recopie dans son Journal » n’est assortie d’aucune note. Prudence ? Pruderie ? Pudibonderie ? Discrétion ? La suite après la publicité Les éditeurs des précédents Pléiade savaient » déjà Les éditeurs du Journal » en 68 comme ceux du Théâtre » en 67 savaient. Pas tout, mais ils savaient ». Jean Amrouche savait déjà, lorsqu’il s’entretenait avec Claudel en 1951 pour des Mémoires improvisées ». Il y vient avec mille précautions Vers 1900, ou entre 1900 et 1905, voici qu’il ne s’agit pas de la Femme, mais d’une femme, voici qu’il ne s’agit seulement de l’Amour, mais d’un amour, est-ce exact ? » questionne-t-il. Oui » répond le catholique Claudel avant de digresser pour ne pas en dire plus. Amrouche revient à la charge Je ne voudrais pas être indiscret... », mais de pas de côté en circonvolutions, il ne fait que tourner autour du pot. Sans rien dire. Et Claudel ne dit rien. Autre temps, autres mœurs. Dès 1905 cependant, dans une lettre au poète Francis Jammes, alors qu’il écrivait Le Partage de midi », Claudel ne cachait rien Vous savez que je fais un drame qui n’est autre que l’histoire un peu arrangée de mon aventure. Il faut que je l’écrive. J’en suis possédé depuis des années, et cela me sort par tous les pores. » Entre écrivains... La suite après la publicité Antoine Vitez sur les traces de Rose Claudel face à lui-même DR. Au fil des décennies, on allait passer du non-dit au murmuré puis au dit. Je me souviens des répétitions du Soulier de satin » à Chaillot en 1987. Le premier jour, Antoine Vitez avait invité Renée Nantet-Claudel, fille légitime. Les jours suivants et tout au long des répétitions, il parla de Rose qui le fascinait. Le jour de l’anniversaire de Ludmila Mikael qui jouait Prouhèze et qui avait joué Ysé, il lui offrit un bouquet de roses... roses. Un jour, il relit le début du Journal » et note C’est là notre sujet il s’agit de montrer comment cela peut se fendre, la muraille du cœur humain. » Après la création à Avignon, pendant les représentations à Chaillot, il retrouve la trace de Louise, la fille illégitime. Il écrit une note de service Elle a près de 83 ans. Elle vit à Vézelay. Je lui ai téléphoné. Elle viendra voir “Le Soulier de Satin ” en décembre » publié dans Le Journal de Bord » qu’a tenu Eloi Recoing, Le Monde Editions.La suite après la publicité Les photos de l’album Claudel Ces dernières années, plusieurs ouvrages ont été consacrés à Rose, née Rosalia Scibor-Rylska à Cracovie, d’un père polonais et d’une mère écossaise. Et la récente édition Folio du Partage de midi » ne l’ignore pas. Cette édition prestigieuse et savante de la Pléiade est comme l’apothéose de cette histoire désormais publique. La notice sur le Partage de midi » montre, scène par scène, l’entrelacement de la vie et de la pièce. Et il en va de même pour la notice du Soulier de satin » où intervient également un flirt tardif, une amitié amoureuse qui relit Claudel à Audrey Parr qu’il surnomme Margotine ». L’album Claudel, dont l’iconographie a été choisie et commentée par Guy Goffette, est encore plus explicite. Jusqu’à montrer une photographie de Rose sur le bateau où tout allait commencer et deux photos d’Audrey Parr. Jusqu’à mentionner ce que l’on lit au dos de la croix de fer qui orne la pierre tombale de Rosalie-Rose au cimetière de Vézelay Seule la rose/est assez fragile pour exprimer l’éternité », une phrase extraite des Cent phrases pour éventails » de Claudel. Lequel avait choisi que soient gravés sur sa tombe ces seuls mots Ici reposent les restes et la semence de Paul Claudel. »La suite après la publicité Paul Claudel en 1927 Wikimedia Commons. ? Théâtre » de Paul Claudel - deux volumes 1 776 pages et 1 904 pages de la collection la Pléiade chez Gallimard - prix de lancement jusqu’au 31 août 65 euros chaque volume ou 130 euros les deux réunis en coffret. Album Claudel » offert pour l’achat de trois volumes de la Pléiade

MichelGalabru sur le plateau de "c'est encore mieux l'après-midi" à Paris le 13 avril 1987. mort décès people france cinéma théâtre hommage top news News people
Le Deal du moment Cartes Pokémon où commander le coffret ... Voir le deal € Epopée Littéraire ~ Au Fil des Mots +8KahoMagalilorianeCédricmilalPaigeGavrocheviens-lire-avec-moi12 participantsAuteurMessageviens-lire-avec-moi Nombre de messages 930Age 28Passion Lire, écrire, es arts De Coeur Livresques L'épée de vérité ; Hygiène de l'assassin ; chroniques des temps obscurs ; Peggy Sue et les fantômes ; La voleuse de livres... Préférences Littéraires Amélie Nothomb - Les romans étrangers et les romans histoire de vie. Date d'inscription 25/01/2009Sujet Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Jeu 21 Mai - 1942 Tout est dans la question. Gavroche Nombre de messages 251Age 31Passion LittératureCoup De Coeur Livresques La Chartreuse de Parme - Le Misanthrope - FaustPréférences Littéraires Théâtre, PoésieDate d'inscription 09/05/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Ven 22 Mai - 237 D'une manière générale, cela dépend de la pièce de théâtre. La plupart d'entre elles ont été écrites pour être jouées, ce qui peut apparaitre comme une évidence. Seulement, certains dramaturges ont écrit leurs pièces de théâtre uniquement pour qu'elles soient lues c'est une minorité, je le reconnais c'est le cas d'Alfred de Musset qui, dégoûté de la scène après la représentation de sa Nuit Vénitienne ou les noces de Laurette, a décidé de l'abandonner pendant presque vingt ans... ce qui ne l'empêcha pas d'écrire et de publier de nouvelles pièces de théâtre durant cet intervalle. C'est pourquoi j'ai rarement vu une bonne représentation des Caprices de Marianne, ou d'On ne badine pas avec l'amour. Par ailleurs, il y a des pièces de théâtre très compliquée à mettre en scène. Exemple Cromwell de Victor Hugo. À cause des fréquents changements de décors et de la démesure du texte en lui même, c'est une pièce qui n'a presque jamais été jouée. Éventuellement, pour d'autres pièces telles que les tragi-comédies de Molière, les voir jouées est peut-être plus intéressant que de les lire et encore, cela dépend beaucoup de la qualité de la mise en scène. D'autres pièces encore sont tout aussi intéressantes jouées que lues. C'est le cas de la trilogie de Figaro de Beaumarchais, ou du Faust I de de toute façon, sans vouloir être vexant, je crois que cette question a finalement peu d'intérêt lire une pièce de théâtre ne peut pas être dommageable, et si l'on a les moyens de la voir le théâtre reste malheureusement assez élitiste c'est encore mieux. Je crois que la lire ne vaut pas mieux que la voir, et inversement. Les deux ne me paraissent pas inconciliables, bien au contraire. viens-lire-avec-moi Nombre de messages 930Age 28Passion Lire, écrire, es arts De Coeur Livresques L'épée de vérité ; Hygiène de l'assassin ; chroniques des temps obscurs ; Peggy Sue et les fantômes ; La voleuse de livres... Préférences Littéraires Amélie Nothomb - Les romans étrangers et les romans histoire de vie. Date d'inscription 25/01/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Ven 22 Mai - 2100 C'est peut-être sans intérêt, mais c'est tombé au bac... Et en pièces qui ont été écrites pour être lues, il y a également Rhinocéros de Ionesco je ne vois pas comment on peut la jouer en "direct"... Paige Nombre de messages 142Age 31Passion Lecture, rêver, sourire... Coup De Coeur Livresques Je risque d'en oublier!Préférences Littéraires Tout! Date d'inscription 30/04/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Ven 22 Mai - 2136 ben pourtant y a des très bonnes interprétations de Rhinocéros.. ^^" Telle que la mise en scène de Jean-Louis Barrault...Selon la définition même du theatre, sujet que j'ai eu en dissertation Le theatre est fait pour être joué, car le theatre ce n'est pas seulement un texte mais c'est une mise en scène, des acteurs, de la vie...Cependant, de mon avis, c'est extrêmement différent... la représentation théatrale à mon sens ne constitue pu une oeuvre littéraire car le support me dérange. Je préfère les lire ^^ Gavroche Nombre de messages 251Age 31Passion LittératureCoup De Coeur Livresques La Chartreuse de Parme - Le Misanthrope - FaustPréférences Littéraires Théâtre, PoésieDate d'inscription 09/05/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Ven 22 Mai - 2217 C'est vrai qu'à l'origine, le théâtre était écrit pour jouer, tout comme la poésie été écrite pour être problème avec cette question, c'est que c'est difficilement comparable. La représentation d'une pièce dépend énormément du savoir-faire du metteur en scène, de la crédibilité des comédiens, et encore d'autres paramètres... Comme je l'ai déjà dit, je me souviens avoir vu une mise en scène d'On ne badine pas avec l'amour qui était absolument catastrophique à cause des comédiens, tous plus navrants les uns que les autres et certainement à cause aussi du metteur en scène qui les avait formidablement mal dirigés. milal Nombre de messages 1166Age 29Passion écriture, lecture, rêve...Coup De Coeur Livresques Aucun, chaque livre est une nouvelle Littéraires fantasy, aventure, action...Date d'inscription 13/08/2008Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Dim 24 Mai - 1604 Moi je dis les deux !!Personnellement, une pièce de théâtre se lit et se regarde !! Les deux versions sont importantes et intéressantes. Et puis, depuis toujours, c'est fait pour être joué.... Cédric Nombre de messages 24Age 29Passion Musique , LittératureCoup De Coeur Livresques "Huis clos" Jean Paul SartrePréférences Littéraires Les Romans, La Poésie, Le ThéâtreDate d'inscription 25/05/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Mar 2 Juin - 2339 Bonsoir, bien personnellement je pense que la réponse à cette question est propre à chacun. En effet lorsque je lis une pièce de théâtre et bien je joue la carte de l'autosuffisance, la seule vision personnelle et spirituelle d'une représentation me suffit. Voir, jouer ainsi que lire une pièce ne sont pas des choses réellement en accords, elles sont en parallèle voila tout. Une pièce de théâtre peut être lue, entendue, vue, jouée, peu importe, la qualité de celle-ci réside bien souvent dans l'esprit de celui qui la édition par Cédric le Jeu 25 Juin - 014, édité 1 fois loriane Nombre de messages 22Age 30Passion ecriture, danse, chant, dessinCoup De Coeur Livresques Bonjour tristesse Françoise SaganPréférences Littéraires romans, poèmes prose, versDate d'inscription 31/05/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Mer 3 Juin - 1620 Pour Viens-lire-avec-moi Mettre en scène Rhinocéros est effectivement un véritable défi, mais tout dépend de la direction engagée par le metteur en scène. Mettre en scène du théâtre c'est plus qu'une passion, on l'a dans la peau ou on ne l'a pas. Et je pense que le spectateur se fait son opinion de la pièce non pas en la lisant, mais aussi en étant attentif à tout ce qu'il a ressenti lors d'une représentation, d'où l'importance de la mise en c'est vrai que certains auteurs comme Victor Hugo ne nous facilitent pas la tâche en brisant les règles du théâtre classique à savoir l'unité de temps, d'action et surtout de lieu. C'est d'ailleurs pour cela que les contemporains de Victor Hugo étaient plutôt rétiçants quant à la mise en scène de ses pièces dramatico-romantiques comme Cromwell ou représentation théâtrale est donc à mon sens nécessaire pour amener les émotions du spectateur à leur paroxisme, quand cela est possible ... Magali Nombre de messages 2506Age 28Passion RessentirCoup De Coeur Livresques La mante au fil des jours - Christine renard + J'irai cracher sur vos tombes - Boris Vian + Le Rêve - Emile Zola + L'insoutenable legereté de l'être - Milan KunderaPréférences Littéraires Boris Vian, Emile Zola, Jean-christophe Grangé, Milan d'inscription 22/06/2008Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Ven 19 Juin - 1840 Le nom ne vous dira pas grand chose, mais j'ai vu une charmante adaptation de Chat en Poche, de Feydeau, par une troupe composée de jeunes lycéens et étudiants et vieux routiers du théâtre. J'ai trouvé ça fantastique !Lorsqu'une pièce est bien jouée et agréablement mise en scène, ca en devient vraiment passionant. Surtout dans le cas de ce Vaudeville. Je prefere regarder que lire une pièce de Rhinocéros, je serais curieuse de voir une adaptation, je pense que le théâtre oral a quelque chose de plus à apporter, et c'est vraiment passionant ! Kaho Nombre de messages 87Age 28Passion Lecture, un poil -mais petit- d'écriture, musique, jeu de rôleCoup De Coeur Livresques Tolkien et Robert Holdstock...Préférences Littéraires Fantastique et classiques. Très peu de policier et haine envers les romans d'amour...Date d'inscription 04/06/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Mer 24 Juin - 2255 J'aime bien les deux tout autant l'un que l'autre... Comme il a été dit, lire se suffit à lui-même on imagine, comme toute lecture. Maintenant, je mets les deux exactement sur un pied d'égalité, peu importe la pièce, peu importe la qualité, tant que ce que dit l'auteur est respecté le jeu d'une pièce de théâtre est pour moi, simplement, une façon de voir comment l'a lue une autre personne... Je l'ai imaginée, maintenant je vois devant moi ce qu'a imaginé quelqu'un d'autre... Même si le jeu d'acteur est bof, tant qu'il n'est pas totalement excécrable, j'aime beaucoup en général. Je pense notamment, par exemple, dans mon école, les 6ème comme je suis en Belgique, équivalent du bac, pour rappel interprètent chaque année une pièce... J'ai le souvenir de deux très bonnes représentations, bien que ce soit vraiment du racommodage, ce qu'ils font, les autres ne m'ont par contre rien laissé de particulier, parce qu'en effet, ils ont eu du mal à représenter ce qu'ils voulaient...Voilà, c'était juste un petit exemple, mais que je trouve parlant tant qu'on arrive à faire parler et représenter ce que l'on a nous-même vu, j'aime voir une pièce jouée. Sans exiger une mise en scène ni un jeu excellents... Elora Nombre de messages 1039Age 32Passion Lecture, EquitationCoup De Coeur Livresques Océan Mer - Alessandro BariccoPréférences Littéraires Histoires de vie...Date d'inscription 29/04/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Dim 28 Juin - 1256 Personnellement, je préfère voir une pièce jouée...Je trouve que la lecture est souvent fastidieuse...Cependant, c'est vrai qu'avoir lu une pièce avant ou après l'avoir vu jouée ou voir plusieurs mise en scène est pas mal pour les différentes interprétations. De plus, comme il a déjà été dit, elles sont souvent écrites pour être jouées. Dans un contexte cinématographique,ça ne viendrait qu'à très peu de gens l'idée de lire le scénario... Pourtant, pour moi, cela s'en rapproche. GossipGirl Nombre de messages 1070Age 32Passion lire et écrireCoup De Coeur Livresques Tous les romans de Guillaume Musso et Marc Lévy, Sauvage de Maryse Maligne et Une vie est passée de Stéphanie Littéraires J'aime tous les genres mais avoue être une adepte de la d'inscription 18/01/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Dim 28 Juin - 1300 Je pense exactement la même chose que toi Elora. Les pièces de théâtre sont plus interressantes à voir qu'à lire. Cependant, dans ce cas là, je préfère lire la pièce après, pour ne pas gâcher la magie. Elora Nombre de messages 1039Age 32Passion Lecture, EquitationCoup De Coeur Livresques Océan Mer - Alessandro BariccoPréférences Littéraires Histoires de vie...Date d'inscription 29/04/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Dim 28 Juin - 1507 Chose que je comprends totalement, j'aurais tendance à faire de tout, j'ai vu des représentations uniquement dans le cadre scolaire...et, du coup, on avait été obligés de lire la pièce avant. C'était, en général, pendant les cours de fin d'année que nous assistions ou regardions une représentation... Kinderwhore Nombre de messages 57Age 32Passion musique, lire, net ...Coup De Coeur Livresques ...Préférences Littéraires Polars, thrillers, noir Date d'inscription 02/06/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Lun 24 Aoû - 2212 Je pense qu'il vaut mieux voir une pièce de théâtre. C'est plus vivant quand c'est joué. D'ailleurs, c'est comme le rock il y a des albums, mais c'est quand même meilleur en live. Comme l'album, la pièce de théâtre sur papier est un support. En ce qui me concerne, je n'aime pas trop lire des pièces de théâtre, mais j'en ai vu quelques une qui m'ont vraiment plu. La mise en scène et le jeu des acteurs peuvent nous faire apprécier une pièce qu'on aurait peut-être pas aimé si on l'avait lu. sixteen Nombre de messages 429Age 31Passion Lecture et écritureCoup De Coeur Livresques Robin Hobb, Anne Rice Préférences Littéraires FantastiqueDate d'inscription 14/01/2009Sujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Jeu 7 Jan - 1917 Les pièces de théâtre sont écrites dans le but d'être vues, c'est vivant, et je pense qu'il vaut mieux les voir que les lire. Mais à défaut de les voir car il n'y a pas forcément de représentation, ça coûte de l'argent, etc... ça peut être pas mal de les lire. Contenu sponsoriséSujet Re Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Vaut-il mieux lire ou voir une pièce de théâtre ? Page 1 sur 1 Sujets similaires» Les Auteurs, un petit jeu pour mieux les connaitre ?» Challenge 2010 Viens-lire-avec-moi.» Challenge 2009 - de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumEpopée Littéraire ~ Au Fil des MotsSauter vers
Molièredu spectacle comique [ modifier | modifier le code] 1988 : Zouc au Bataclan. Les Petits Pas de et mise en scène Jérôme Deschamps et Macha Makeïeff, théâtre des Bouffes du Nord. Double Mixte de Ray Cooney, mise en scène Pierre Mondy, théâtre de la Michodière. C'est encore mieux l'après-midi de Ray Cooney, mise en scène Durée 1h25 / CHF Texte Ray Cooney Adaptation française Jean Poiret Mise en scène José Paul assisté de Emmanuelle Tachoires Jeu Sébastien Castro, Lysiane Meis, Pierre Cassignard, Guilhem Pellegrin, Pascale Louange, Guillaume Clérice, Thomas Sagols Comédie Inlassable coureur de jupons, le député Richard Marchelier est déterminé à profiter de sa venue à Paris pour passer du bon temps avec une secrétaire du Premier Ministre. Mais il faut d’abord qu’il endorme la méfiance de son épouse, qui loge dans une chambre voisine. La maladresse chroni­que de son attaché parlementaire ne va pas rendre la tâche des plus aisées. Trente ans après sa création triomphale au Théâtre des Variétés, le vaudeville de Ray Cooney reste diablement efficace. Succédant à l’irrésistible Jacques Villeret, Sébastien Castro excelle dans le rôle de l’attaché parlementaire pris dans un engrenage qu’il ne cesse d’entretenir malgré lui. De révélations spectaculaires en quiproquos désastreux, les portes claquent et les rebondissements s’enchaînent à un rythme effréné, dans ce spectacle qui n’a rien à envier aux meilleurs Feydeau.
Dela même façon, à longueur d’année, 5 000 enfants de 8 à 15 ans, en France et dans le monde, se retrouvent les mercredis après-midi pour quelques heures de bénévolat. À Marseille, ils
PHOTO DANIEL HUOT, FOURNIE PAR L’USINE C Anne-Marie Cadieux vole la vedette dans le rôle de Sylvie, maîtresse pour un temps de Vernon Subutex. En adaptant pour la scène le roman à succès de Virginie Despentes, la metteure en scène Angela Konrad signe un spectacle jubilatoire, corrosif et foisonnant, qui prouve à qui en doutait encore la force singulière de sa voix. Et qui clôt en feu d’artifice la saison théâtrale à Montréal. Construite sur les cendres encore fumantes de la culture rock, la pièce raconte la descente infernale de Vernon Subutex, un ancien disquaire qui se retrouve à la rue après plusieurs mauvais coups du sort. Deuils répétés, crise financière des prêts à haut risque et dématérialisation de la musique l’ont forcé à fermer sa boutique, qui a longtemps été l’épicentre du rock à Paris. Il ne lui reste plus que d’anciens camarades d’une époque révolue, mais à laquelle il s’accroche comme le naufragé qu’il est. Pour profiter d’un lit, d’un repas chaud, parfois d’une baise ou d’une ligne de coke, Vernon renouera avec l’un, puis avec l’autre. Mais les amis d’avant ont changé, et rarement en mieux… Dans le rôle du disquaire déchu, David Boutin livre une performance colossale. Le cheveu sale, l’œil hagard, les dents pourries, il se présente à nous déjà usé, étiolé. Pendant trois heures, il erre dans un perpétuel état de survie. Seul un amour vif mais rapidement assassiné » pour une femme trans Violette Chauveau, tout en sensualité ramènera un peu de lumière dans son regard. PHOTO DANIEL HUOT, FOURNIE PAR L’USINE C Dans le rôle du disquaire déchu, David Boutin livre une performance colossale. Dans son errance, Vernon croisera la route d’une galerie de personnages tout aussi écorchés que lui, malgré le fric accumulé et l’embourgeoisement de certains. Dans le rôle de Sylvie, une maîtresse aussi exigeante que capricieuse, Anne-Marie Cadieux vole la vedette. Avec son jeu très physique, ses crises de larmes et ses fous rires à glacer le sang, elle est sans conteste la plus survoltée de cette distribution de haut vol. Dominique Quesnel incarne de son côté, et avec toute l’énergie débridée qu’on lui connaît, La Hyène, une femme capable de démolir les plus belles réputations en inondant de fiel les réseaux sociaux. Elle est aussi Olga, une sans-abri touchante qui pleure avec nous la mort de son chien. Paul Ahmarani en scénariste raté et Philippe Cousineau, en producteur incapable de supporter le succès d’autrui, puis en batteur de femmes peu repentant, offrent aussi de solides performances. Projections bien dosées Pour nous faire voyager d’un univers à l’autre, Angela Konrad a choisi de multiplier les projections vidéo colossal travail d’Alexandre Desjardins sur un grand mur blanc en fond de scène. C’est aussi sur ce mur qu’elle projettera par moments des extraits du roman de Virginie Despentes. Un procédé dont elle n’abusera pas, mais qui démontre à quel point la metteure en scène a décidé de rester au plus près du texte original. En adaptant le premier tome de ce triptyque, Angela Konrad a choisi de rester dans la vérité des personnages, en mettant en lumière toutes leurs contradictions sans jamais cesser de les aimer. Même les pires scélérats aux discours les plus choquants restent ici attachants, car ils demeurent profondément humains. Et cette humanité se déploie sur une trame sonore hétéroclite, mais toujours à propos. Entre une chanson punk et un succès pop, entre Nina Hagen et Adele, la musique devient un personnage à part entière. C’est elle qui marque les différences entre les classes sociales, les idéologies et les états d’esprit de chacun. C’est elle aussi qui nous accompagne longtemps après la fin de ce spectacle coup de poing, où l’on rit beaucoup, mais toujours avec une boule au ventre. Il reste à espérer que les huit représentations prévues à l’Usine C ne seront pas les seules occasions de voir cette pièce immense. On croise aussi les doigts pour que la trilogie en entier soit un jour présentée. Angela Konrad y travaille déjà. Et c’est une excellente nouvelle. Vernon Subutex 1 D’après un texte de Virginie Despentes. Adaptation et mise en scène d’Angela Konrad. Avec David Boutin, Anne-Marie Cadieux, Dominique Quesnel et six autres interprètes. À l’Usine C, Jusqu’au 22 juin ★★★★
MerciXavier de cette invitation. « C’est encore mieux l’après-midi ». Depuis le 23 février 2017. Du mardi au samedi à 21h. Le samedi à 16h30 et le dimanche à 15h. Tarifs (hors possibles réductions) : de 15 à 48€. Théâtre Hébertot. 78
Georges Werler Année de création 2008 Joue-t-on Le Malade imaginaire de la même manière à 46 ans, à 62 ans, et à 83 ans ? À travers l’exemple de Michel Bouquet, qui fut l’interprète du rôle d’Argan pendant presque 40 ans, les élèves sont invités à découvrir comment l’interprétation d’un rôle peut évoluer tout au long d’une vie, en passant d’une mise en scène à l’autre. Petit bijou de comédie inséré dans le chef-d’œuvre qu’est Le Malade imaginaire, la scène de Louison, qui met en scène une enfant, pose – elle aussi – la question de la distribution à qui confier ce rôle de petite fille ? Et quel est l’enjeu dramaturgique de cette scène, dans laquelle une enfant fait » la morte ? Par une série de courtes activités sur les choix de distribution et d’interprétation, de scénographie et de costumes, les élèves découvrent la mise en scène de Georges Werler qui nous rappelle que le jeu théâtral est, au moins autant que le rapport à la maladie et à la médecine, l’enjeu majeur du Malade imaginaire. Pistes pédagogiques sur le spectacle Connectez-vous sur éduthèque pour accéder à ce contenu Remerciements Générique Mise en scène de Georges Werler. Spectacle créé au théâtre de la Porte Saint-Martin en 2008. Avec Michel Bouquet Argan Juliette Carré Toinette Hélène Seuzaret Béline Olivier Claverie Monsieur Bonnefoy Sébastien Rognoni Monsieur Fleurant Pierre Forest Monsieur Diafoirus Sylvain Machac Cléante Christian Bouillette Monsieur Purgon Pierre-Alain Chapuis Béralde Pierre Val Thomas Diafoirus Julie de Bona en alternance avec Sarha Llorca Angélique Clémence Faure Louison Scénographie Agostino Pace Costumes Pascale Bordet Son Jean-Pierre Prévost Lumières Jacques Puisais Suite En lien avec cette mise en scène Captation intégrale sur Cyrano Découvrez Cyrano, la plateforme vidéo 100 % théâtre au service des enseignants, conçue par Théâtral magazine et sa rédaction, et accédez gratuitement à la captation intégrale de ce spectacle. Le Malade imaginaire sur Présentation du spectacle, distribution complète, vidéos, documents numérisés, critiques et calendrier des représentations. Bouton fermeture pop in Connectez-vous sur éduthèque Avant de poursuivre votre navigation sur ce site, vous allez être redirigé vers le site éduthèque pour finaliser la connexion. Vous êtes enseignant ! En vous connectant sur éduthèque, vous allez pouvoir accéder aux contenus de Théâtre en acte extraits vidéo, photographies, interviews des auteurs, des metteurs en scène, des comédiens, reportages, dossiers de presse, documents d’archives… Pistes pédagogiques Accédez à des accompagnements pour découvrir l’auteur, étudier le texte, analyser des spectacles et comparer des mises en scène. Utilisez directement ces activités en classe avec vos élèves en leur communiquant votre compte classe éduthèque. Mises en scène comparées Comparez différents partis pris de mises en scène de référence, récentes et historiques, à travers des extraits vidéo.
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promo web de la pièce de théâtre C’est encore mieux l’après-midi, Théâtre Hébertot C’est encore mieux l’après-midi au Théâtre Hébertot. La comédie la plus folle et la plus drôle du génie anglais Ray Cooney. Dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale, un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Mais la présence de sa femme dans le même hôtel et la maladresse chronique de son assistant vont déchainer les catastrophes et toute une série de quiproquos hilarants. Voici la bande annonce de C’est encore mieux l’après-midi C’est encore mieux l’après-midi se joue dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale. Un célèbre député se prépare à un après-midi coquin avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Tout aurait pu rester secret si sa femme ne s’était pas elle-même trouvée dans le même hôtel, au même moment, accompagnée d’un assistant à la maladresse maladive… Quiproquos, tromperies, mensonges aucun doute, tous les ingrédients de Feydeau sont bien là. A partir du 23 février au Théâtre Hébertot Du mardi au samedi à 21h / Samedi 16h30 et dimanche 15h00 Une pièce de Ray Cooney Adaptation française Jean Poiret Avec Pierre Cassignard – Lysiane Meis – Sébastien Castro Guilhem Pellegrin – Pascale Louange Guillaume Clérice – Rudy Milstein – Anne-Sophie Germanaz Mise en scène José Paul Assistante Mise en scène Emmanuelle Tachoires Décors Jean Michel Adam Lumières Laurent Béal Costumes Juliette Chanaud Son Michel Winogradoff Le site officiel du Théâtre Hébertot
Richard député, est à Paris pour présider une commission à l'Assemblée Nationale. Il prévoit d'expédier rapidement sa femme, qui l'a accompagnée, au théâtre afin de pouvoir recevoir sa maîtresse dans leur chambre d'hôtel. Son assistant parlementaire Cinéma Publié le 04/06/08 mis à jour le 08/12/20 Partager La mort du cinéma, on y a tous pensé. C’est idiot, c’est plus fort que nous. En s'improvisant devin, on a dû un jour annoncer sa fin vers 2015. Cette lubie court depuis fort longtemps, en vérité depuis plus d’un siècle. Curieux comme le cinéma, pourtant jeune, est né vieux. A peine avait-il vu le jour que la nuit le poursuivait déjà. Marqué d’un sceau funèbre, il a grandi en orphelin. Un bâtard croisement de la peinture, du théâtre et du roman, suscitant tour à tour pitié ou convoitise. Dès les années 1920/30, toutes sortes de Cassandre – des personnes loin d’être bêtes, comme Philippe Soupault ou Abel Gance... – prophétisaient sa mort imminente. Aimer le cinéma, c’est aussi se repaître de son déclin. Mais voilà, seul ou avec des complices, le cinéma a évolué, a connu des mutations et des extensions. Nombreux furent ses ennemis désignés le parlant, la couleur, la télévision, les magnétoscopes, les DVD, la VOD, la projection numérique, etc. C’est peut-être à la fin des années 80 que la délectation morose a atteint son apogée. Souvenez-vous des interviews avec Wenders ou Godard, des écrits de Serge Daney. L’ambiance était alors à l’oraison funèbre. La belle série d’émission Cinéma cinémas consacra ce penchant mortifère, en célèbrant de manière nostalgique un âge d’or mais révolu du cinéma. Il n’y a pas de honte à ça. La nostalgie n’est pas un plaisir coupable et tout le monde peut l’éprouver, même ceux qui s’en défendent. Ainsi chacun pense que sa jeunesse cinéphile est la plus glorieuse qui soit. Sans nécessairement voir que dans jeunesse cinéphile », le terme le plus important c’est jeunesse ». A quoi bon s’enorgueillir d’avoir été le contemporain de la Screwball comedy, du néoréalisme italien ou de la Nouvelle Vague ? De toute façon, je serais bien mal placé j’appartiens à la première génération perdue ? qui a découvert le cinéma... à la télévision ! Eh oui, avant de hanter les salles obscures, j’ai goûté aux films du dimanche soir ceux de Sautet comme de Verneuil à une époque où l’on ne parlait pas encore de prime-time. Cela ne m’empêche pas de constater combien le cinéma en salles a changé et de me souvenir non sans délice du temps où le programme de la cinémathèque de Chaillot était une feuille de couleur dactylographiée, du temps où l’on pouvait rentrer dans un cinéma, y rester l’après-midi, passer d’une salle à l’autre, du temps où la réservation d’une place n’existait pas, du temps aussi où les salles sentaient méchamment des pieds. Ce n’était donc pas forcément mieux avant. C’était différent, voilà tout. Aujourd’hui, curieusement, on ne parle plus de la mort du cinéma. Mais plutôt de crise, liée au système d’aide, d’exploitation ou de diffusion. Le cinéma n’est plus un, il s’est complexifié, multiplié, diversifié. Il existe hors des salles. Il est presque partout. Est-il pour autant vivant ? Partager Contribuer Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner PierreCassignard est un acteur de 51 ans. Chaque jour, il joue à 19h dans Darius (avec Clémentine Célarié) puis à 21h dans C'est encore mieux l'après-midi. Nous l'avions beaucoup apprécié dans la pièce La Chanson de l'Eléphant, en 2013. Depuis, il a également joué dans Un Amour qui ne Finit Pas, mis en scène par Michel Fau. Sortir Strasbourg Spectacles Comédie Gratuit Théâtre Comédie Grand Spectacle One Man Show Festivals Enfants Opéra/Ballet DATE Vendredi 15 mars 2019 HORAIRE 20h30 TARIF 19 - 38 € ATTENTION événement terminé ! Evénement proposé par CoupoleUNE JOYEUSE SOIRÉE DRÔLE ET DÉSOPILANTE ! Préparez-vous à vous muscler les joues ... C’est encore mieux l’après-midi, c’est 1H30 de rire et de bonne humeur ! Accourez à La Coupole pour venir assister à la comédie la plus folle et la plus drôle de la saison théâtrale parisienne et nominée aux Molières 2018 par le génie de l’auteur anglais Ray COONEY, adapté par le génie français de la comédie Jean POIRET, et superbement mise en scène par José PAUL ! NOMINATION AU MOLIÈRE 2018 MEILLEURE COMÉDIE L’Histoire ? Dans un hôtel proche de l’Assemblée Nationale, un célèbre député se prépare à une après-midi coquine avec une secrétaire du premier ministre au lieu d’assister à un débat parlementaire de la plus haute importance. Mais la présence de sa femme dans le même hôtel et la maladresse chronique de son assistant vont déchaîner les catastrophes et toute une série de quiproquos hilarants ! Un vaudeville moderne qui ne laisse aucun répit au spectateur et à ses muscles zygomatiques du rire. Avec Sébastien CASTRO Lysiane MEIS Pierre CASSIGNARD Guilhem PELLEGRIN Pascale LOUANGE Anne-Sophie GERMANAZ Guillaume CLÉRICE Thomas SAGOLS Texte Ray COONEY Mise en scène José PAUL Production Présenté par PASCAL LEGROS ORGANISATION, en accord avec LE THÉÂTRE HÉBERTOT et LE THÉÂTRE DES NOUVEAUTÉS Quand ? Horaires C'est encore mieux l'après-midi Vendredi 15 mars 2019 Horaires 20h30 Prix ? Tarif 19 - 38 € Autres Comédie le même jour Vendredi 15 mars 2019 Mission Prince Charmant Comédie "Mission Prince Charmant" arrive au Jack’son à Saint-Raphaël Boulevard Delli-Zotti 83700 le Vendredi... Le Jack'son - Saint-Raphaël 83700 Du 14 au 16 mars 2019 YANN GUILLARME - VERIDIQUE Comédie Yann Guillarme aime la scène, aime le jeu, aime les gens et les plats en sauce. Il est incontrôlable, populaire,... L'ENTREPOT - MULHOUSE 68100 Autres événements pour ce lieu THEATRE LA COUPOLE Samedi 10 septembre 2022 DABADIE Théâtre Dabadie ou les choses de nos vie Une création originale de et avec Clarika, Maissiat, Emmanuel Noblet et Mathieu... THEATRE LA COUPOLE - Saint-Louis 68300 .