🐏 Parole Toutes Les Femmes De Ta Vie

Toutesles femmes de ta vie Toutes celles que je suis Sont là en moi Tu vois Si, tu fermes les yeux Regarde en toi Regarde un peu Tout ce que tu perds Toutes les femmes de ta vie En moi

Immortel Paris L'Ange-Cornu +2SunieAriana6 participantsAller à la page 1, 2 AuteurMessageArianaNombre de messages 123Ordre Seth...Date d'inscription 20/08/2007Sujet Comme jadis... Dim 24 Jan 2010 - 1709 La seth était confortablement installée, assise dans l'un des salons privé. Elle devinait que son compagnon préfèrerais l'ambiance plus réservé, et surtout, l'absence de regards désagréables. Bien assise sur les coussins moelleux, car chaque salons avaient un ameublement différent, elle buvait tranquillement un verre d'absinthe, souriant de ses dents de fauve, sa langue fourchue de vipère dardant l'air autour d'elle. Décidément, elle se sentait bien a Paris. Mais il faisait trop froid...décidément. Et dans ces moments ou la température extérieure était trop basse, la seth se trouvait dans un état semi comateux, seul ses yeux se déplaçant, observant les alentours. Lovée, elle attendait. Et qui d'autre que Clémenceau venait la déranger aurait affaire a elle...Mais qui voudrais se frotter a une dame a l'allure d,assassin? Et comme il n'y avait que très peu de moltanor en ville, pas la peine de s'angoisser. Rare était les immortels qui appréciait la compagnie des seths et de leur allure de serpents. Et ce n'était pas aujourd'hui qu'ils allaient faire différent. SunieNombre de messages 193Localisation Québec, Canada, Amérique, Terre, Sol, Voie Lactée, Amas de la Vierge, UniversRang Première hybrideOrdre Métisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Ven 29 Jan 2010 - 1848 La lourde porte de l'Ange Cornu s'ouvrit après un court échange verbal entre le portier et quelqu'un qui cherchait apparemment à entrer. Sunie passa alors le cadre pour enfin réussir à entrer dans l'auberge d'immortels, à peine eu-t-elle fait un pas que, tout en fermant la porte, Samaël lui dit"Je doute d'avoir fait le bon choix en te laissant entrer, j'ai une mauvaise impression à ton propos, sans compter que ton mot de passe n'est plus valide. La seule chose qui fait que je te laisse entrer est que tu est une immortelle sans aucuns doutes et que ton visage me dit quelque chose, n'oublie pas le mot de passe que je viens de te dire car je ne serais pas aussi clément la prochaine fois."Sunie acquiesça et observa un peu l'intérieur avant de s'y avancer. Elle avait changé, à peine quelques mois avaient passés depuis que Vilya lui avait rendu l'usage de ses jambes et elle marchait déjà comme avant. Sa silhouette avait changé d'autant qu'elle arrivait à se tenir droite maintenant, sa posture ne trahissant plus son ancien handicap. Elle portait un épais manteau de fourrure de castor qui lui arrêtait aux genoux pour se tenir au chaud. Ses cheveux noirs semblaient avoir encore pris en taille, arrêtant autrefois à ses hanches, elle les arboraient maintenant jusqu'à la mi-cuisse tout en les laissant détaché en permanence. Elle portait son traditionnel maquillage rouge et avait fait particulièrement attention à ne pas manquer un seul trait. Un étui de cuir sous le bras elle se dirigea vers une table libre près du centre de la salle et s'y assis, laissant son manteau sur le dossier de la chaise voisine. Elle portait une grande robe entremêlée de rouge vin et de noir dans laquelle elle était sublime. Cela n'empêchait pas la majorité des gens dans la salle de la regarder comme si elle fut une humaine, c'est-à-dire comme si elle ne collait pas au décor et n'avait rien à y faire. Quelques personnes échangèrent de courtes phrases afin de savoir si quelqu'un la connaissait, ceux qui étaient plus loin semblaient soit curieux ou ennuyé par son absence d'aura. Ceux qui étaient plus près semblaient plus sur les nerfs, agressifs voir, car son aura ne collait avec aucune de celle qu'elle devrait avoir en tant qu'immortelle. Elle ouvrit son étui et le regard de plusieurs passa de l'agacement au questionnement lorsqu'elle en sortit son violon. Celui-ci, au contraire de sa propriétaire, n'avait pas changé pour un sou, fait de l'ébène de la meilleure qualité, avec ses reliures de bronze reluisantes et ses gravures en or. l'archet qui suivit était beaucoup plus banal, un archet des plus normal qui pouvait être acheté pour une poignée de francs probablement. Sunie regarda autour d'elle un instant et remarqua que la plupart des regards étaient fixés sur elle, la majorité étaient curieux mais certains demeuraient alertes, prêts à tout. Sunie se leva debout et plaça le violon sous son menton et porta lentement l'archet sur les cordes, elle testa délicatement chacune d'entre elle, toujours et encore accordées. Elle laissa ensuite le flot de ses émotions guider l'archet, la chanson n'était pas joyeuse, ni triste, la peur, le rejet et la mélancolie y était omniprésente mais on pouvait y trouver l'espoir. Tant d'émotions étaient charriés par le son du violon, tranquillement les gens se rassirent, écoutant la mélodie bien que certains n'eut aimé pour rien au monde le violon, ils écoutaient tout de même, l'endroit devenant silencieux d'un seul coup. Sunie l'ignorait mais son violon avait la faculté de catalyser sa présence, rendant le son non pas hypnotique, mais le rendant capable de transmettre les émotions. à cet instant son aura était presque palpable, si fort mais fragile à la fois, il ne quittait pas la salle toutefois, le son ne pouvant porter son pouvoir plus joua durant un bonne dizaine de minutes, n'arrêtant de jouer que lorsqu'elle en sentit le besoin. À ce moment, tout les gens de la salle et même certains des salons étaient présents et écoutaient, certains avaient les larmes au yeux, d'autres semblaient perdus dans leurs souvenirs, aux moments de leur longue vies marqués par ces émotion. Une fois terminé elle rangea l'archet puis le violon dans l'étui et se rassit, laissant les gens revenir à eux-même, son aura se résorbant lentement suite à l'arrêt de la musique. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 31 Jan 2010 - 1544 Le portier eut une crise de cœur lorsqu'il vu l'ange de la mort. Il atterrit devant l'ange cornu comme un ange noir, sorti tout droit des cieux. Ses ailes noires et son regard froid. Cypher plongea son regard dans celui du mortel, la voie caverneuse de la création résonna dans le crâne du pauvre homme "Soit tu ouvre cette porte, soit je te tue et je l'enfonce avec ton cadavre."l'homme fixa devant le Valkar armé de sa faux. Il n'avait pas l'air de bonne humeur. Samael... tétaniser par le colosse qu'il avait devant lui ouvrit. "Je ne veux pas tuer ta race, mais je viens simplement chercher quelqu'un. Si tu fais quoique ce soit, je te tuerais. J'exterminerai également, les immortels que tu cache dans ton refuge. SI tu ne veux pas de bain de sang, tu ferme ta gueule et tu me laisse faire mon travail."Il garda le même regard froid en passant à côté du portier. La figure fantomatique du Valkar avança à travers les tables. Les immortels regardèrent la créature sans trop savoir quoi penser. Il était pied nu, ne portait qu'une toge comme vêtement. Son regard était vide, sans par l'Aura de sa proie, Cypher, avança jusqu'à la table de Sunie. Il resta planté devant, le corps droit comme une barre de fer et le visage sans la moindre traces d'émotions. Machinalement, il finit par dire d'un ton froid et direct "Vous avez rendez-vous avec mon maître, immortelle hybride." VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 Fév 2010 - 1701 Vigortsen avait été surpris d'entendre un violon. Il sortit des toilettes où il était allé se débarbouiller puisque rentrant d'une poursuite d'un criminel mortel qui c'était terminée pour se dernier derrière les barreaux. A peine fut-il sortit qu'il reconnu Sunie, SA Sunie, jouant sur un superbe violon en ébène. Il s'adossa à la porte, en retrait dans l'ombre pour ne pas la perturber et fut embarqué par les sentiments de sa jeune arrêta de jouer, il resta dans le vague des émotions durant quelques minutes, l'observant s'asseoir sur sa chaise. Il fini par se décider à la rejoindre lorsqu'un immortel aux sombres ailes et à la feau menaçante s'approcha d'elle. Il n'aimait pas ce personnage pieds nus vêtu d'un bout de tissu crasseux, il l'aima encore moins lorsqu'il entendit ce qu'il dit à Sunie. *Qu'est-ce que c'est que cette histoire de rendez-vous?* Se dit-il amèrement. L'instinct lui conseilla d'être méfiant, aussi décida-t-il de se diriger vers la porte du en marchant, il glissa une main dans la poche droite de son manteau et referma la main sur la paire de menottes. Il se déplaçait silencieusement, l'air de rien. Son comportement ne pouvait le trahir puisqu'il avait l'habitude de suivre ses cibles et que jamais il n'avait été repéré. Lorsqu'il passa à quelques mètres dans le dos de l'immortel ailé, il jeta un regard à sa douce et lui fit un clin d'oeil. Ce petit signe disait *Ne t'inquiète pas, je suis là*. Il attrapa sa bière sur la table et s'adossa à un pilier, seulement cinq mètres derrière toujours dans la poche fermée sur les menottes, il attendit près à bondir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 Fév 2010 - 2029 Cypher regarda l'arriver de virgotsen d'un air froid et impassible. Il vu de coin de l'œil cette être peu plaisant. Il était sur ses gardes. Comme de nombreux immortels dans l'auberge d'ailleurs. Il gardait néanmoins le regard sur Sunie. Il parlait machinalement en gardant un ton froid. "Je me répète, vous avez rendez-vous avec mon maître Aemon Targaryan. Sur son ordre, je dois vous mener à lui. Je n'ai pas reçût de directive sur la manière de vous conduire à lui. Je ne cherche pas à faire un massacre, mais les ordres de mon maître sont immuables. Je vous demande donc de me suivre, de votre plein gré. Sans quoi hélas, je devrai prendre des parla à l'attention de la foule. "Je n'ai aucune instruction sur vous, immortels. Je ne suis venu que pour reconduire madame. Je ne pense pas que personne ici n'a d'objection ? d'ailleurs, la décision vous reviens." SunieNombre de messages 193Localisation Québec, Canada, Amérique, Terre, Sol, Voie Lactée, Amas de la Vierge, UniversRang Première hybrideOrdre Métisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 Fév 2010 - 1347 Sunie terminant de ranger son violon lorsque Samaël laissa entrer un être étrange qui ne semblait pas être le bienvenu. On aurais dit un cadavre tant sa peau était terne et ses habits laissaient vraiment à désirer. Il avait quelque chose de terrifiant, sa posture, son ton, mais surtout sa faux ne lui donnaient pas un aspect très commode. Lorsqu'il se dirigea vers elle Sunie se figea, que pouvait-il bien lui vouloir. Lorsqu'il s'adressa à elle, son ton lui glaça le sang, il était plat et fixe, comme une machine et cet homme connaissait ses origines hybridés, qu'était-il donc. Il lui dit qu'elle avait un rendez-vous avec quelqu'un puis, lorsqu'elle ne lui répondit pas, il ajouta que ce n'était pas un rendez-vous mais bien une demande à ne pas refuser. Il ne semblait pas très amical, menacer la foule d'immortels présents dans l'ange cornu n'était pas une mince affaire. Elle avait vu Vigo, quand elle avait croisé son regard celui-ci lui avait fait un clin d'œil pour qu'elle sache qu'il était là et prêt à agir. Sunie rassembla tout son courage et s'adressa au valkar lui faisant face"Je suis désolée de vous dire que votre *rendez-vous* ne m'intéresse pas, je ne connais pas votre maitre et je n'ai donc rien à lui dire, en plus vous me parlez sans vous présentez et vous voulez que je vous suive sans discutions, non mais quel manque de classe. Vous croyez vraiment que je vais suivre quelqu'un d'armé et qui me menace sciemment d'utiliser la force si je suis contre. Partez d'où vous venez oiseau de malheur, vous gâcher l'ambiance."Sunie ne savait pas trop si c'était une bonne idée de refuser mais elle n'allait tout de même pas suivre cette chose qui semblait être un valkar mort. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Lun 8 Fév 2010 - 1712 Vigortsen grimaça lorsqu'il entendit la réponse de Sunie, cela ne présageait rien de particulièrement bon. Si le valkar l'énervait trop, il risquait de voir Liliana prendre le contrôle, et là tout aussi puissant qu'il fût c'est était fait de lui, à coup voici que l'autre s'adressa à toute l'assemblée. Lorsqu'il demanda si quelqu'un voyait une objection à se qu'il embarque Sunie, Vigo s'était déjà élancé. N'étant qu'à cinq mètres et dans une salle basse de plafond, le Valkar pour peu qu'il remarque Vigo qui se trouvait dans son dos, ne pourrait user de ses ailes. Mais à la vue de la distance qui les séparaient, de l'habileté de Vigo à fondre en silence sur sa proie et du fait que l'autre lui tournait le dos, c'était presque impossible qu'il fasse quelque chose, d'autant que l'endroit était fort allait user d'une technique d'appréhension fort peu commune. Il allait user du poids du valkar contre lui. Au dernier instant de sa course, il fit une glissade afin de faucher les chevilles de l'oiseau maudit. Cela comportait plusieurs le valkar sautait juste avant que vigo ne le fauche, ne pouvant user de ses ailes, il retomberait sur lui, mettant ses chevilles à portées des réussissait à se rattraper plus ou moins après avoir été fauché, Vigo n'aurait qu'à tendre la main pour lui passer les menottes aux tous se passait comme prévue, le valkar tomberait en arrière et viendrait s'emprisonner tout seul dans les menottes, grace à son propre le valkar était assez réactif pour sauter en avant, Vigo le cueillerait à l'atterrissage grâce à une sautait en arrière, se serait encore plus facile, il lui suffisait d'attendre que les chevilles passent à portées de ses passer les menottes était LA spécialité de très rapide, l'effet de surprise était total du fait de l'attaque totalement silencieuse que Vigo tous les cas, Vigo avait fait sortir sa lame de sa manche, près à l'utiliser si besoin ce qui normalement ne devait pas être le cas. Si tout se déroulait bien, Vigo aura passé les menottes avant même de devoir user de sa lame. En théorie, le valkar n'avait aucun moyen d'échapper aux menottes grâce à cette attaque et une fois qu'il serait prisonnier ne serais-ce que de l'un des bracelets, tous ses pouvoirs seraient annulés. Il deviendrait simple mortel ailé et armé d'une valkar était idiot. En entrant dans la taverne, il annulait sa plus grande force, celle de édition par Vigortsen le Jeu 11 Fév 2010 - 300, édité 2 fois CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 Fév 2010 - 1853 Cypher regarda la demoiselle, il n'en avait vachement rien à faire. Il écouta les paroles de l'hybride sans la moindre expression faciale. Il en avait rien à foutre de la ramener en morceau. il allait poursuivre sa conversation lorsque Virgotsen fonça en direction de l'immortel. il effectua un placage, dans un plus grand des silences, avantages que les sens améliorés de Cypher soit toujours actifs. il effectua donc son placage et tenta de faucher les chevilles du Valkar. Sa tentative de placage ne s'effectua cependant pas, comme il l'avait prévu. Lorsque l'attaque principal de Virgotsen fut effectué, Cypher d'une simple action de pensé activa sa vitesse surhumaine. Contrôlant celle-ci avec la maîtrise d'un Maréchal, il propulsa son corp d'un saut rapide et ne utilisant son dernier pouvori de célériter plana un peu un plus loin. Il contourna avec une agilité et une vitesse surprenante le corps de Virgotsen qui ce relevait de son placage. Avec une vitesse surnaturelle, il lui porta un coup de pied ossature mélange entre du titane et de l'acier - poids total du corps environ 3 tonnes. Il stoppa directement à quelques dizaines de mètres du Luna. il avait peu être perdu ses ailes, mais la célérité d'Arnéus Valkar avait été sa spécialité. Dernière édition par Cypher le Jeu 11 Fév 2010 - 1549, édité 1 fois SunieNombre de messages 193Localisation Québec, Canada, Amérique, Terre, Sol, Voie Lactée, Amas de la Vierge, UniversRang Première hybrideOrdre Métisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 10 Fév 2010 - 2343 Sunie ne vit pas Vigo se préparer et fut surprise lorsqu'il s'attaqua à ce drôle d'oiseau. Mais lui apparemment ne fut pas surpris le moins du monde et esquiva sans mal l'attaque tout de même bien planifié de Vigo. Ce n'était pas tant sa vitesse de réaction qui l'étonna mais la force avec laquelle il envoya Vigo valser contre le mur en un seul coup de pied. Sur le coup Sunie figea sur place, il venait tout de même de frapper son amant mais pourquoi avait-il fait cela. Puis une fraction de seconde plus tard elle était à côté de lui pour essayer de le rattraper avant qu'il ne tombe au sol. Comment elle avait fait cela, elle n'en avait pas la moindre idée, mais elle réussit, sans toutefois rattraper Vigo, à empêcher celui-ci de se cogner lourdement à terre. À peine la scène reprenait sa vitesse normale et que les gens s'exclamaient de ce qui venait de se passer que Sunie Observait Vigo sous toutes ses coutures pour voir s'il était blessé."Vigo, ca va, pourquoi t,a fait ca, fallait pas, ca va?"Elle resta ainsi dos à Cypher afin de s'occuper de Vigo, elle n,en était pas moins alerte mais son amant était peut-être blessé et elle tenait à s'occuper de lui s'il était blessé. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Fév 2010 - 2024 Vigortsen ne compris pas complètement ce qu'il se passa. Il reçu un coup de pied extrêmement violent qui l'envoya voler un peu plus loin, il s'écrasa contre le mur, mais grâce à une paire de mains, il ne s'écroula pas trop méchamment au sol. C'est donc un peu sonné et les cottes endoloris qu'il se redressa sous le regard de Sunie."Ca va, ça va, merci. Il frappe fort le bougre."Il posa sa main sur l'une des épaules de Sunie et nota la couleur jaune de ses yeux. Il se redressa, chancela brièvement avant de se mettre debout puis regarda Sunie. Il lui parla dans un murmure à peine audible même pour elle."Dès que tu le peux, sauve toi et fonce chez moi, je te rejoins."Puis immédiatement après, il se tourna vers le "valkadavre", se postant devant sa compagne. Il avait eu suffisamment de réflexes pour ne pas lâcher ses menottes lors de son échec. En revanche, il avait eu beaucoup de chance de ne pas s'empaler lui même sur sa propre plongeât ses yeux dans ceux de l'oiseau et ce dernier pouvait y lire la détermination et la colère."Au cas ou cela t'aurais échappé oiseau de malheur, elle ne veut pas te suivre. Si ton maitre veut lui parler il n'a cas se bouger le cul au lieu d'envoyer son chien de garde. Menacez encore une fois ma compagne et vous êtes une volaille morte qui me servira de déjeuner à Noël."Il était bien remonté et attendit la réponse éventuelle de l'autre. Il reculait doucement vers la porte en poussant Sunie dans cette direction, toujours en se tenant entre elle et le valkar. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Fév 2010 - 2126 [i]Cypher fut très surprit de ne pas avoir causé plus de dégâts. Dommage... il aurait aimé rendre le combat rapide. Puis, il vu l'immortel qui s'élevait devant lui. Bravoure ? Cela ne voulait rien dire pour l'ancien Valkar. " Tu parle immortel ? Dommage que de part mon coup, je n'aille pas couper ta langue. Sa m'aurait éviter d'entendre tes menaces. Moi un simple poulet ? Je te trouve bien faible, pour voir été projeter si loin, par une simple poule. D'ailleurs, j'ai très mauvais goût. De nombreux immortels, s'y sont cassée bien des dents. "Lorsque Virgotsen poussa Sunie vers la porte, l'ange de la mort poussa un soupir. Il regarda rapidement le plafond... deux étages... hummm...plancher de bois verni ? " Elle peut courir, mais elle ne peut rien contre moi, ou mon maître. Tôt ou tard, mon maître viendra la quérir. Alors ? Tu vas t'écarter ? Où je vais être obligé de détruire ton code génétique ? Je n’ai aucune objection à te combattre, mais mon devoir n'est pas de te tuer."[/i] Aemon TargaryenNombre de messages 115Date d'inscription 07/11/2009Sujet Re Comme jadis... Mar 16 Fév 2010 - 009 Une ombre était poster dans la pénombre. L'attente était terrible mais le grabuge à l'intérieur de l'établissement laissait présager que le plan avait bel et bien mis en marche pour la capture de l'hybride. À la moindre vue de la sortie de celle-ci l'ombre entrerait en action. Attendant sa proie avec impatience avec une salve d'anesthésiant dans ses deux mains au moindre cri Marcus se tenait prêt ainsi que Targaryen juste sur le mur où menait la porte que sa création avait emprunter. Bien sur il pourrait entrer mais il valait mieux passer inaperçu pour le moment. SunieNombre de messages 193Localisation Québec, Canada, Amérique, Terre, Sol, Voie Lactée, Amas de la Vierge, UniversRang Première hybrideOrdre Métisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Fév 2010 - 1149 Sunie recula derrière Vigo et le laissa la pousser vers la porte, après tout comment pouvait-elle espérer faire quoique ce soit, elle n'utilisait ses pouvoirs que de façon instinctive et souvent ceux-si ne voulaient pas fonctionner lorsqu'elle le voulait. Leur position n'était pas précaire mais vu la vitesse à laquelle le valkar bougeait, elle pouvait le devenir bien vite. Sunie regardait le dos de Vigo, se rappelant toutes les cicatrices qu'elle y avait vu, voulait-elle vraiment qu'il se risque à en cumuler une autre, ou pire. Mais elle savait qu'aller avec cette chose qui ressemblait à un valkar ne pouvait que lui amener des problèmes, peu importe qui était son maitre, elle ne voulait pas finir comme cet homme. Mais que faire?Soudain tout devint noir, un noir d'encre insondable, seule une petite lueur rouge brillait au loin, semblant être à des kilomètres. En un clin d'œil la lueur était devant elle, une belle orbe rouge sang similaire à du verre, la lumière provenait du plus profond de la petite sphère qui devait être grosse comme le poing. Sunie tendit la main vers celle-ci et entendu une voix, la voix qu'elle damnait à chacune de ses pertes de contrôle, la voix de sa Némésis, Liliana."Alors, dans le trouble encore une fois?"Elle ne semblait toutefois pas aussi haineuse qu'à l'habitude, plutôt irritée et ironique. Sunie ne savait pas trop quoi faire, elle regarda autour, à perte de vue il n'y avait rien, pas de sol, pas de murs, que cette petite orbe. Qu'allait-elle donc faire avec elle, à chaque fois qu'elle lui parlait elle se sentait faible et Liliana lui volait les commandes mais cette fois il n'en était rien."Alors, il t'as coupé la langue sans que tu t'en rendre compte?""Non, qu'est-ce que tu veux salle garce."Liliana éclata de rire"Alors, tu n'as rien d'autre à faire que m'insulter? Qu'est-ce que tu compte faire contre cet espèce de valkar, pleurer, demander à maman de venir t'aider? Pour une fois que je te demande ton opinion, t'as pas à te plaindre.""Quelle sournoiserie es-tu en train de me faire cette fois? Où est-ce qu'on est en premier, pourquoi tu n'a pas pris le contrôle tout de suite comme à ton habitude espèce de pute.""Mais ma parole, arrête de me jeter des compliments, tu va me faire rougir. Je t'offre de l'aide et tu ne semble pas comprendre que je suis autant en danger que toi, à ce que je sache on a encore le même corps, non? Alors tu va me laisser contrôler pour lui foutre une raclée parce que ton baiseur professionnel d'amoureux m'a... Blessée avec ses menottes à la con, normalement je crois que nous devrions nous voir face à face en reflets de miroirs, voilà ce qu'il me reste, pas beaucoup j'en consent mais je suis encore là et moi je les contrôle les pouvoirs, pas toi.""Et alors, ce n'est pas ton corps, c'est le mien, à chaque fois où tu prend le contrôle tu fout tout en l'air et tu fait des choses qui me dégoutent. Et si tu est si faible, comment tu ferais pour garder le contrôle de toutes façons."C'est là le problème j'ai besoin de toi, je ne dit pas que je t'aime et t'embrasserais, j'ai besoin de toi et sa s'arrête là. Tu as tout ce qu'il me manque présentement, le contrôle, l'énergie, la vigueur, vois tout ce qu'il me reste, je peux à peine survivre. Et je ne voudrais pas jouer les casse-pieds mais si je meurs tu ne vaudra pas mieux, tu mourras aussi. Alors, devant l'impasse, il ne reste qu'une seule option, accepte moi, intègre moi, ne faisons qu'une, nous serons plus fortes et tu pourra survivre, n'essaye pas de dire qu'il y a une autre issue, tu l'as gouté aussi bien que moi, il y a une autre personne de l'autre côté de la porte, les effluves de l'air de mentent pas."Sunie se tut, elle avait raison... mais qui lui disait que ce n'était pas une autre de ses sournoiseries bien mieux planifiée que les autres, après tout n'était-ce pas sa spécialité, mentir et tromper? Il y avait beaucoup à perdre qu'elle dise oui ou non, ce valkar ou bien la garce qui partageait son corps, ne restait qu'à savoir lequel représentait le plus grand mal."Alors tu dit que tu veux m'aider, pourquoi, qu'est-ce que tu as à y gagner quelle conneries vas-tu faire?""Rien, pense-tu vraiment que je puisse faire quoique ce soit aussi affaiblie? Je prend ton estime comme un compliment mais j'ai à peine la force de me garder en vie, encore moins celle de te dominer comme à l'habitude, fait moi confiance, je ne pourrais pas faire plus de dégâts que ce que j'ai déjà fait."Aussitôt que Liliana prononça le mot confiance Sunie éclata de rire"Moi, te faire confiance? Plutôt mourir après une longue agonie."Liliana soupira, Sunie ne semblait pas comprendre à quel point sa situation était précaire, ses forces s'amenuisant à simplement lui parler, la taille de l'orbe diminuant peu à peu. Pour la première fois SUnie lut de la franchise et non de la malice dans la voix de Liliana"Écoute, c'est ta dernière chance, si tu ne dit pas oui je vais mourir et tu peux parier que je t'emmène avec moi dans la tombe. Sois tu accepte de devenir une seule personne avec moi ou tu meurs avec moi, n'est-ce pas simple.""Tu as l'air tellement sincère que je te croirais, si seulement tu ne m'avais pas pourrie la vie autant, peut-être que j'aurais dit oui, maintenant laisse moi partir d'ici."Un autre soupir de la part de Liliana"Très bien, tu me pousse dans mes derniers retranchements. Ne dit pas que tu ne l'aura pas cherché."L'orbe fonça alors sur Sunie, la percutant à la poitrine, projetant celle-ci à une distance qui lui sembla incroyable. Lorsque Sunie se releva elle ne voyait plus la sphère rouge mais la lueur semblait émettre de son propre corps désormais. Sunie se demandait quelle sournoiserie Liliana avait encore commise, lorsqu'elle se sentit mal, sa tête semblant vouloir exploser tant la douleur était ceux qui l'observait, Sunie sembla absente quelques fractions de secondes, le regard dans les vapes. Puis elle s'effondra sur le sol sans plus de cérémonies, son aura disparaissant d'un seul coup, ses yeux affichant alors la seule couleur qu'ils n'avaient jamais pris, le noir. Quiconque aurait pris le temps de regardé, il aurait constaté qu'elle ne respirait plus . Graduellement, son corps s'enveloppa d'une fumée noire et malodorante disparaissant de vue en quelques secondes. La fumée, toutefois, n'arrêta pas son avancée et se rependit tel un tapis de brume sur le sol de l'auberge. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 Fév 2010 - 1810 Son regard doré transperçait littéralement le valkadavre de ses reflets jaune comme deux étincelles devant un chalumeau, prêts à cracher de gigantesques flammes. Si ses yeux n’étaient pas particulièrement terrifiants, on devinait une bonne puissance et une très forte détermination. Ainsi, le dénommé Cypher put lire dans ces yeux que s’il voulait embarquer Sunie de force, une lutte terrible éclaterait en préambule. C’est l’un des pouvoirs que confère l’amour, celui de multiplier la force, la puissance et la détermination lorsque l’être tant aimé est menacé. De la même manière qu’une mère est prête à donner sa vie pour sauver ses enfants, un amant irait jusqu’à condamner son âme pour sauver sa distinguant tout cela dans les yeux de Vigortsen, le valkar put noter une autre chose, l’absence totale de peur, ce qui le rendrait encore plus farouche et déterminé. Il put également sentir que si l’amoureux de Sunie devait frapper, ce serait pour faire sentait sa douce reculer dans son dos, mais il sentait également qu’elle le faisait avec hésitation. Aussi, passa-t-il sa main gauche dans son dos et attrapa celle de l’hybride qu’il serra fort. Il tourna alors la tête, gardant son œil droit sur le valkar et lui murmura quelques mots. - Je t’ais juré que jamais je ne laisserais personne te faire du mal et que je ferais tous pour que l’on ne t’en fasse pas. Ne m’empêche pas de tenir ma promesse quelle qu’en soit l’issue. »Il serra un peu plus fort encore la douce et tiède main avant d’ajouter - Je t’aime mon cœur. »Alors reprit le bras de fer que les deux immortels se lançaient du regard. Puis Vigo sentit quelque chose. Un bruit retentit derrière lui, un bruit inquiétant. Il se retourna brusquement pour voir sa belle écroulé au sol, sa cage thoracique ne bougeant plus. Elle ne respirait devint comme fou et se jeta à genou à ses côtés. Ses yeux, noirs comme les ténèbres, une couleur qu’il ne leur avait jamais vue et qui lui glaça le sang. Une larme perla et c’est dans une rage titanesque qu’il se redressa, lentement avant de faire face à l’auteur présumé. Pour lui, seul le valkadavre pouvait être responsable de cet état. Il avait due user d’un pouvoir obscur quelconque et maintenant sa raison de vivre, son cœur était visiblement morte. - Qu’as-tu fais engeance démoniaque ? Que lui as-tu fais ? TU ES MORT ! »Les derniers mots avaient été prononcés dans une sorte de rugissement. Une voix mêlant humain et loup. Vigo ne désirait plus qu’une unique chose, atomiser le piaf. Aussi laissa-t-il sa place à son second lui, un énorme loup-garou couleur de l’or de près de deux mètres cinquante de haut. A la grande surprise de Vigo, il put garder le contrôle de la bête ce qui était habituellement impossible. Il se rendit alors compte que sa fureur était telle que l’âme de la bête était terrée dans son coin, ne se rendit pas immédiatement compte de la fumée noire et poussa un rugissement de fureur pure qui fit trembler le bâtiment. La gueule grande ouverte, il dévoila ses dents dont les plus grandes, les canines étaient de la taille d’un poing fermé du valkar. Son hurlement durant vingt bonnes secondes, secouant toutes les personnes présentes et leur hérissant le poil. Puis il fit claquer sa mâchoire dans un CLAC » sec et la fumée lui enveloppa les pattes arrière et il se retourna de avait disparue, invisible dans les volutes de cette étrange fumée noire. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 20 Fév 2010 - 2021 Deimos... Saleté de cochonnerie. Comment... ah oui, elle est hybride. Cypher ce questionna un moment, Quel clan était-elle ? Enfin... Cypher d'un puissant coup d'ailes, propulsa l'air. Comme un grand éventail, il propulsa la fumée dans le coin de la salle. Cette tentative avait pour but de simplement faire disparaître la fumée. Il regarda un court instant le plafond... Bonne idée. Puis... le Luna dans un rugissement bestial, transforma son corps en forme de guerre. Contrairement aux Sadizar, les Luna contrôlaient leur forme de guerre. Au moins, les menottes ne serait plus un problème, comment pourrait t'il les utiliser avec des aussi grosse pattes ? Cependant, les griffes de Virgotsen... risquait de lui faire mal. Durant les 20 secondes, ou le Luna hurlait, il en profita pour s'injecter une seringue. Puis d'une voie grave " En plus d'être une erreur de la nature, tu est complètement stupide. Tu pense me vaincre ? Parfait. Cependant, tu sera mort pour rien. Je n'ai rien fait à cette hybride, elle a simplement utiliser le pouvoir de Deimos, des Séthites. Tu veux donc toujours de battre ? Bête ?"Il chargea sa célérité, concentra son pouvoir et prépara son corps à esquiver. SunieNombre de messages 193Localisation Québec, Canada, Amérique, Terre, Sol, Voie Lactée, Amas de la Vierge, UniversRang Première hybrideOrdre Métisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mar 2 Mar 2010 - 1314 Le temps était flou, depuis combien de temps était-elle là, qui était-elle donc, laquelle des deux femmes dont elle avait les souvenir était vraiment elle, comment savoir? D'ailleurs que c'était-il passé, pourquoi n'arrivait-elle pas à se rappeler qui elle était, ce qui venait de se passer ou encore tout ce qui précédait ses interrogations. Tout cela était des plus étrange, comment cela pouvait-il arriver. Elle se décida finalement à ouvrir ses yeux mauves et fut surprise de ne voir qu'une sorte de brume noire, où pouvait-elle bien être. Au bout de quelques secondes le brouillard se dissipa et elle pu voir ce qui l'entourait, elle ne fut pas étonnée de voir tant de gens tout comme de voir cette étrange créature poilue devant elle ou encore cet étrange homme ailé plus loin. Qui pouvait donc être tout ces gens? Elle réfléchit quelques instants puis se résigna à chercher dans les souvenirs étranges et sans sens des deux femmes qu'elle semblait si bien connaitre. Elle chercha une éternité qui ne dura qu'une seconde puis réussit à se faire une semblant d'idée sur le pourquoi elle était là. Elle était venu jouer d'un instrument de musique qu'une des deux femmes savait très bien utilisé puis l'homme aux ailes était venu la voir en causant toute une commotion auprès des autres personnes présentes. Il faisait peur à la femme avec l'instrument de musique mais pas à la seconde qui semblait déterminée à lui casser la gueule au sens propre du terme. Ensuite la bête poilue qui grognait devant elle face à l'homme oiseau était au départ un homme qui avait tenté d'attaquer ledit homme oiseau sans grand succès, s'attirant les foudres de la jeune femme au violon qui semblait tenir à cette seconde de réflexion, elle s'assit lentement par terre, le dos contre le mur, ignorant les personnes autour ou leurs réactions, qu'avait-elle à en faire de toutes façons. Elle chercha alors encore dans les souvenirs des deux femmes et vit qu'elle était à Paris, une grande ville... elle chercha immédiatement ce que voulait bien pouvoir dire une ville et cueillit quelques concepts dans les souvenirs parfois clair de la jeune femme au violon, Sunie, ainsi se faisait-elle appeler puis dans ceux plus nébuleux, incomplets et emplis d'émotions noires de Liliana, l'autre femme. Une seconde passa pour toute la durée de ses recherche, mais qu'est-ce qu'une seconde pour elle, qu'est-ce que cela représente vraiment pour son esprit troublé par l'absence de tout souvenir ou première fois elle regarda autour d'elle et vit d'étranges choses qui soutenaient d'autres choses tout aussi étranges que deux ou trois personnes calmes portaient à leur bouche. Comme les fois précédant elle chercha dans les souvenirs de ses deux jeunes femmes et trouva ses réponses, une table et un verre, apparemment des choses banales qui étaient construites pour un but utilitaire. Mais qui était-elle?Pourquoi était-elle?Où?Pourquoi...hrp, désolé pour le délais, des évènements dans la vie réelle m'ont volé mon inspiration pour un temps hrp VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1247 Lorsque le valkadavre se mit à battre de ses ailes décharnées, La fumée se retira lentement. Bien conscient que c’était la pire des choses à faire, Vigo se retourna pour voir si Sunie était toujours là. Personne ne pouvait savoir en cet instant à quel point il était soulagé de la voir s’asseoir contre un mur. Elle semblait totalement perdue mais au moins était-elle en vie. La pression de l’adrénaline redescendit d’un coup dans les veines de l’homme à la vue du magnifique corps de sa chère et tendre intacte. Rassuré, il fit un bond pour se tenir de nouveau face à l’oiseau mal faisant et grogna lorsqu’il parla. Une fois que son adversaire eu terminé, Vigo se dressa de toute sa hauteur et répondit d’une voix rauque, grave et gutturale à la limite du grognement. Je ne suis pas plus une erreur de la nature que toi. Je suis un Luna et toi un Valkar. Seulement tu n’es qu’un chienchien enragé à la botte de ton maitre près à commettre des atrocités pour t’attirer les gratitudes d’un être qui te tient en laisse. Un Valkar vient en aide aux faibles, il ne les attaque pas. Ton maitre n’est pas un Dieu qui a le droit de décider de la vie des autres. S’il veut Sunie il lui faudra me tuer mais cela lui coutera la vie. De même pour toi ose seulement l’effleurer et je réduirais ton squelette en poussière pour ensuite emballer le tout dans tes ailes en lambeau. Quiconque approchera Sunie avec des intentions néfastes apprendra ce qu’est la colère d’un loup-garou. »Comme pour confirmer ce qu’il venait de dire, Vigo empoigna une table qu’il lança en direction du valkar de toute sa force. Autant dire que si le piaf n’arrivait pas à l’esquiver, il se retrouvera projeter contre le mur du fond dans lequel il finirait incrusté. Joli tableau en perspective. A l’instant même où il eu lancé ladite table, Vigo se tourna vers sa dulcinée et l’attrapa avec son énorme patte gauche. Il avait à peine attrapé la jeune femme qu’il plongea son regard dans celui de Sunie et qu’il lui dit rapidement Ne t’en fais pas ma Sunie, je vais te sortir de là. »Surement put-elle voir dans l’or de ses yeux la sincérité de ses mots et l’amour qu’il avait pour elle, même en cet instant … s’élança alors à une impressionnante vitesse au vue de sa masse pas loin de 800 Kg vue sa taille en direction de la cuisine. Ainsi il pourrait fuir par la porte de derrière sans avoir à tourner le dos au valkar. Si le valkadavre se plaçait devant lui, il goutterait de sa patte et de ses griffes dont un seul coup l’enverrais assurément voler sur près de dix mètres. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIÈRE TOI!Rang Amiral-MaréchalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1838 Thilix dormait dans le fond de l'ange cornu et tout le raffut l'avait réveillé mais il aimait la scène qui se passait devant lui, une bataille était imminente c'était sûr puis ça éclata, le Luna était en furie, le Valkar sur ses gardes, il adorait regarder les combats comme dans le Colisé, ça lui rappelait le bon vieux temps ou il était une des attractions préférée de tous. Puis sa vodka se renversa à cause de toute l'action, ce fût la pire erreur qu'ils avaient pu faire depuis le Pourriez-vous sortir? Moi pas vouloir détruire endroit ici, toujours être confortablement installé et autres immortels pas faire chier moi mais si vous faire conneries dans cette place moi être obliger de sévir. Et quand moi être fâcher moi pas être gentil gentil. Toi homme aux ailes, doit savoir ça! Et moi me foutre de tes griffes! Parce que toi pas être assez puissant contre moi! Alors moi être gentil aujourd'hui et demandez gentille ment, mais une seule fois, après c'est le désastre!Il regarda Cypher un moment puis maintenant la bête qui était énorme puis se retourna s'asseoir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 7 Mar 2010 - 1831 Cypher entendant la voie, du Sadizar qui l'avait battu, resta de marbre. Il avait un Loup Garou or en face de lui. "Tu gaspille ton talent Luna, tu est comme ceux de ta race territoriale et bestiale. Je te conseille de me remettre la fille, avant que ce combat ne soit néfaste pour nous deux. Tu va essayer de me tuer ? Tu ne ressortira pas indemne de ce combat. Je peux te le jurer. Mon maître veux que je l'amène à lui. Ses intentions, je m'en balance. Puis le lycan, propulsa vers lui une table. Le Valkar, esquiva avec célérité, le projectile improvisé avec aisance et à plus de 50km/h, propulsa son corps à la poursuite du Loup. Il lui laissa néanmoins assez d'avance au Luna pour le laisser sortir par la porte de derrière. Lorsqu'il furent a l'extérieur, il envoya en direction du Garou un coup de faux, allongeant la lame de celle-ci afin qu'elle lui tranche, derrière les genoux. En utilisant une vitesse surhumaine et une précision critique. Il voulait que le Loup Garou, tombe à la renverse. Le combat n'était pas terminé. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 924 Le sadizar pouvait bien tenter quelque chose mais même puissant comme il l'était, si Vigo le percutait dans sa course il pouvait être sûr d'avoir au moins le souffle coupé. Mais le loup-garou n'en avait cure, il filait vers la porte qu'il ne prit même pas la peine d'ouvrir, passant au travers comme s'il eu s'agit d'une tapisserie. Elle vola en éclat qui se dispèrsairent un peu avait fait une dizaine de pas lorsqu'une très forte douleur le prit au genou gauche, genou qui cogna le sol, devenu faible. Pour le coup, le valkar allait vraiment avoir des problèmes. Vigo poussa un hurlement de rage et de douleur tellement monstrueux que tous ceux qui l'entendire durent sentir tous les poils de leur corps se fermemant Sunie contre lui, il usa de sa jambe droite pour sauter de deux bons mètres vers la feau qu'il empoigna de sa patte qu'il eu refermé ses griffes sur le manche, il usa de toute sa force pour propulser le valkar contre un mur où il espérait qu'il s'écraserait. Immédiatement après, il parti aussi vite que possible pour ramener Sunie chez lui afin qu'elle soit en lieu sûr."Je ne t'abandonnerais pas Sunie, même si je dois en mourir." CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 1833 Bordel... Son coup avait marché. Cypher fut propulsé vers l'arrière, intelligent le bestiaux. Cependant Voyant la force extrême dont disposait le Luna, le Valkar n'eu hélas pas la vitesse d'esprit pour réagir aussi vite que lui. Il fut propulser directement sur le mur de l'Ange Cornu. Le corps de Cypher s'enfonça de quelques millimètre dans le mur. Le coup n'avait pas vraiment sonné le Valkar... Qui reparti aussitôt à la poursuite du Luna. Son but était de récupérer le colis... en vu du Luna, avec sa vitesse surhumaine, il propulsa en sa direction ses deux dagues en visant une fois la gorge et la seconde fois le jambes. Avec la grande vitesse ou ce déplaçait la bête... il lui serait très facile avec cette douleur d'être déséquilibré. De toute façon, un seul dart de son maître et l'immortel était à terre. SunieNombre de messages 193Localisation Québec, Canada, Amérique, Terre, Sol, Voie Lactée, Amas de la Vierge, UniversRang Première hybrideOrdre Métisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 13 Mar 2010 - 052 Elle ne bougea pas durant tout ce temps, à quoi bon réagir, pourquoi réagir, elle ne faisait que se faire transporter dans les pattes d'une loup géant et un homme ailé semblait vouloir quelque chose. Étrangement, cela n'avait rien d'étrange pour elle, après tout, qu'en savait-elle. Elle laissa donc le loup la prendre et faire ce qu'il voulait pendant qu'elle cherchait encore à comprendre ce qu'elle était ou qui elle était dans les souvenirs des deux femmes qu'elle semblait connaitre comme si elle avait été l'une d'elle a un moment puis l'autre ensuite. Puis le gros loup lui parla, il l'appela Sunie, comme la jeune femme qui savait jouer du violon, était-elle celle-là alors? Mais dès que cette pensée vint à son esprit elle la rejeta, comment pouvait-elle être cette Sunie si elle en possédait les souvenirs mais rien d'autre. Elle ne répondit donc pas au loup, ignorant en déduit donc qu'il devait la prendre pour une autre, peu-être que les deux femmes dont elle avait les souvenirs étaient des jumelles et que sa jumelle était cette Sunie... Puis elle se ramena à l'ordre, elle cherchait une réponse là où il n,y en avait peut-être pas, mieux valait ne penser à rien et attendre que les gens lui expliquent ce qui se passaient. Puis elle se rendit compte que plus elle fouillait les souvenirs des autres et utilisaient leurs concepts plus elle arrivait à comprendre ce qui l'entourait. Elle profita de la cohue pour fouiller plus profondément dans les souvenirs des deux femmes apparemment opposées. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation Derrière toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 959 Malgré sa blessure, Vigo avançait vite, très vite. Pour soulager sa patte blessée, il s'était baissé, usant de sa patte avant droite. Coup de chance, il vit une dague passée là ou sa tête se trouvait une demi-seconde avant. Il sentit en revanche très bien la seconde lui percer la bruit qui suivit fut un mélange de chute sourde et de grognement. La lame l'avait déséquilibrée et il avait juste put faire une vrille pour ne pas tomber sur Sunie, la collant contre son ventre il s'écrasa sur le dos. Il savait qu'il pouvait continuer et encaisser encore nombre de blessures du fait de son imposante carrure, mais la priorité était de protéger sa belle. Une idée lui vient alors à l'esprit. Elle valait ce qu'elle valait, mais autant se mit à hurler de façon à ce que sa voix porte jusque dans l' SUNIE EST L'AMI DE VILYA ET CE VALKAR UN DEMON QUI LUI VEUT DU MAL! AIDEZ MOI A LA PROTEGER JE VOUS EN insupportable de devoir presque supplier ainsi, mais comme c'était pour SA Sunie, il pouvait mettre son honneur dans sa se releva alors et retira la dague de sa cuisse avant de la propulser de toutes ses forces vers le valkadavre. Il baissa la tête vers la jeune femme et dans un souffle, il lui effleura le front de son gros il se mit en position debout, paré au combat à mains nues. Sur ce terrain, là, il avait fois en ses capacités et le valkar aurait du soucis à se faire. Il se mis en position défensive, en attente que l'autre attaque, colant Sunie contre jeune femme était relativement bien protégée des potentiels coups puisque contre le ventre doux et chaud du loup-garou et enroulée dans la massive et puissante patte de Cypher venait attaquer, il se ferait très gravement amocher par les puissant coups de pattes et de griffes que distriburait seule chose pire qu'un Luna en colère, c'est un Luna défendant sa compagne. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIÈRE TOI!Rang Amiral-MaréchalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 1023 -HAhahaha! Ça fait bien longtemps que moi pas avoir battus! Au moins 2 heures! Pourquoi pas!?Puis le grand Thilix sortit de la place et s'avança tranquillement jusqu'au cadre de porte pour regarder la bataille et savoir quel bord prendre, parce qu'un bord perdant n'est jamais intéressant selon lui. Il ne s'était pas du tout rendu compte d'Aemon qui attendait là-bas tranquillement et non plus de tout cette merde qui l'entourait, c'était encore cette sorte de créature qui avait essayer de tuer son amour, mais il y avait cet homme qui avait appelé son nom, qui était-ce? Il n'en avait aucune idée mais il était massif et si il mourrait il pourrait récupérer les os et... Mais en même temps il était déchiré par le choix de tuer Cypher qui avait quasiment assassiné sa bien-aimée. Il restait là et ne disait plus un mot. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuébecRang Ancien Gouverneur porté disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 Mar 2010 - 1242 Cypher resta de glace, il recula de quelques mètres lorsque son attaque réussit. Il ne voulait pas risquer, une attaque du Luna. Malgré son ossature de métal, les griffes des Luna étaient capable de trancher des métaux, donc... pas vraiment conseillé d'en recevoir les coups. Sa célérité lui permettrai d'esquiver de nombreux coups mais il n'en suffit que d'un dague fut propulsé à une vitesse excessive en direction de Cypher. Il Esquiva de justesse sa propre dague, qui termina sa trajectoire sur le mur. Lorsque Cypher entendit le Fauve hurler à l'aide, il n'était pas très à l'aise. Que Thilix, un Sadizar puissant viennent aidé une Luna ? Ce-là tiendrais de la fable. De plus comment le Luna avec pu savoir que Thilix et Vilya était ensemble ? Encore une fois le nom de Vilya résonna dans sa tête, comme une mine d'un temps passé qui explose au moment ou on ne s'y attend pas. Il ramassa sa faux. " Tu manque de courage Luna ? Tu appel à l'aide ? Remet moi la fille. Mes ordres, ne sont pas de te faire la peau. Règle tes comptes toi-même. Ta mère ne sera pas toujours derrières toi. Garde ta fierté de mâle."Il posa sa faux sur ses épaules et attendit."Tu ne peux rien faire, Luna. Ta bien-aimé est bien trop précieuse à nos yeux. Elle sera traqué toute sa vie, par les immortels aussi bien que par les mortels. Tu lui éviterait bien des tourments, si simplement tu nous la remet sans faire d'histoire. D'autre que nous viendrons... jours après jours, la meilleur chose que tu a à faire c nous la donner. Je te garanti, qu'elle sera traité avec dignité. Tu semble être un Luna puissant, sert toi de ta sagesse au lieu de tes muscles."Le ton de sa voie avait changé, formulant les mots de manières normale. Contenu sponsoriséSujet Re Comme jadis... Comme jadis... Page 1 sur 2Aller à la page 1, 2 Sujets similaires» Comme c'est beau les champs...Permission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumImmortel Paris L'Ange-CornuSauter vers

JeanLuc Delarue : Flavie Flament, Inès Sastre voici toutes les femmes de sa vie. Le 23 août marque les dix ans de la mort de Jean-Luc Delarue, suite à un cancer en 2012. Il laissait sa dernière épouse, Anissa, mais également la mère de son enfant Elisabeth Bost, et ses ex-complices de télévision, très affectées par son décès Paroles de la chanson Les z’Amis d’ta Femme par Les Amis D'ta Femme Y a des couples qui se font y 'en a d'autres qui se défont Un homme rencontre une femme dans la rue ou un troquet infâme Une grosse bringue une boîte de nuit sur la danse drague-moi séduis Une main au cul et ça se termine dans pieu au bordel faut que ça lime Si l'affaire marche c'est le panard plus de visite au lupanar On finit sous le même toit avec une belle bague au doigt On s'promet fidélité jusqu'à la mort l'éternité Une télé deux caisses un gosse mais malgré tout vive la noce C'est nous les amis de ta femme Vive la baise et vive le cul Quitte à faire des cocus C'est nous les amis de ta femme Vive la baise et vive le cul Quitte à faire des cocus Ce serait vraiment du gâchis d'laisser ces femmes à leur mari Personne n'est à personne l'amour pour la vie quelle connerie S'marier c'est s'appartenir la première chose à abolir C'est la propriété privée c'est pas moi qui l'ai inventée Les liens sacrés du mariage sont l'début d'l'esclavage Chéri passe-moi l'sel change de chaîne toute la vie la même rengaine L'habitude remplace l'amour la belle illusion tourne court Comme si ça suffisait pas nous mettons du désordre dans tout ça C'est nous les amis de ta femme Vive la baise et vive le cul Quitte à faire des cocus C'est nous les amis de ta femme Vive la baise et vive le cul Quitte à faire des cocus J'm'adresse à vous hommes mariés qui nous traitez d'enfoirés Qui nous trouvez amoraux qui nous prenez pour des salauds Si le mariage n'existait pas le problème se poserait pas Mais t'es marié t'es cocu tu t'en est même pas aperçu C'est nous les amis de ta femme Vive la baise et vive le cul Quitte à faire des cocus C'est nous les amis de ta femme Vive la baise et vive le cul Quitte à faire des cocus Les amis d'ta femme Les amis d'ta femme Les amis d'ta femme Les amis d'ta femme Poursuivre les L5 sur INSTAGRAM :Coralie : : https://www.instagram.com/marjoriel5offAlexandra : https://www Tubes radios Durée 0314 Auteur Johan Abergm Sigurd Roesnes, Billy Steinberg, Maïdi Roth, DoriandCompositeur Johan Abergm Sigurd Roesnes, Billy Steinberg, Maïdi Roth, Doriand Paroles Si on reconsidère les choses Je ne suis pas ton idéal Écoute ce que je te propose Descends-moi de mon piédestal Je ne suis pas celle qu'on dispose En jolie statue de cristal Je préfère quand tout nous oppose Sois mon rival L'amour a tellement de visages À toi d'ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages tu envisages Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Je ferai semblant de te croire Quand parfois je sais que tu mens Je ne ferai même pas d'histoire Si tes ex reviennent en courant Je suis aussi ton oxygène Quand tu as le souffle coupé Une histoire pour s'éloigner des Contes de fées L'amour a tellement de visages À toi d'ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois toutes les femmes de ta vie Toutes Celles que je suis Sont là en moi Tu vois Si tu fermes les yeux Regarde en toi Regarde un peu tout ce que tu perds Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie toutes les femmes Glamour ou sexy sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois toutes les femmes de ta vie Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton âme sœur, ton égérie Ta femme, ta meilleure ennemie meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Toutes les femmes de ta vie ta vie En moi réunies Ton âme sœur ton égérie ton égérie Parfois ta meilleure ennemie ennemie Toutes les femmes de ta vie toutes les femmes Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies toutes les femmes Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie Johan Ludvig Aberg, Laurent Lescarret, Maidi Roth, Sigurd Heimdal Rosnes, William E. Steinberg Universal Music Publishing Group
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Arched’Alliance contenant les dix Paroles de Vie. Parchemin des dix Paroles de Vie 1 ou Paroles de Vie 2. 17 Et voici que moi je fais venir le déluge, les eaux recouvriront la terre; ainsi je détruirai, sous les cieux, tout être de chair animé d’un souffle
A cause de la guerre, des milliers d'Ukrainiens, principalement des femmes et des enfants, ont tout quitté pour trouver refuge en France. Franceinfo donne la parole à six d'entre eux, qui décrivent le mal du pays et l'incertitude face à l' Olga, Sofi, Oleksandra, Tany et Elena font partie des quelque 100 000 Ukrainiens accueillis en France. Il et elles ont quitté l'Ukraine après le début de l'invasion russe, le 24 février dernier et ont été accueillis par la France comme réfugiés. Certains pensaient ne rester qu'un mois, d'autres espèrent ne pas quitter l'Hexagone ; ces réfugiés ont en commun des histoires de déchirement et de deuil de leur vie d'avant. Et une question, qui revient en fil conducteur comment se reconstruire et avancer quand on a laissé son pays, ses proches et sa vie à 3 000 kilomètres ? >> Guerre en Ukraine suivez notre direct pour les six mois du conflit Pour franceinfo, cet homme et ces femmes ont accepté de raconter leur quotidien dans leur pays d'accueil, entre problème de logement, difficulté à faire son deuil, à étudier ou à créer. "J'ai mis deux mois à comprendre à quel point j'étais triste" Sofi Zakrasniana, 16 ans, Alixan Drôme. Je suis arrivée ici, dans la Drôme, le 13 avril. Au début, je ne voulais pas aller à l'école française, je ne voulais faire connaissance avec personne. J'étais extravertie en Ukraine et ici, je suis devenue plus réservée. J'ai mis deux mois à comprendre à quel point j'étais triste. Triste de perdre tout ce que j'avais. Emmanuelle, qui m'héberge avec ma mère, a trouvé une école spécialisée dans l'accueil des étrangers. J'y suis allée, tout en continuant mes devoirs pour le lycée à Kiev. Lors de mon premier cours, des élèves m'ont demandé en français qui j'étais. Je n'ai pas répondu. Ils étaient gentils, mais ils ne parlaient pas anglais et je ne maîtrisais pas le français. Je connaissais déjà cette partie du programme de mathématiques. En histoire, aussi, j'avais déjà appris ces leçons, mais je ne comprenais pas les mots du professeur. C'était très difficile. Je me suis accrochée. J'ai été fâchée, en colère, puis j'ai accepté. Mon rêve est d'avoir deux formations devenir psychologue pour enfants et étudier les sciences politiques. J'avais le projet de partir à l'étranger, mais jamais je n'aurais pensé que cela se ferait dans de telles conditions. Je rêve du Canada, mais là-bas, les études ne sont pas gratuites, et mes deux parents ont perdu leur travail avec la guerre. Je ne sais absolument pas où je pourrai aller. "En même temps, il est plus rassurant d'être en sécurité, de ne plus entendre les sirènes. Elles me donnaient envie de pleurer." Sofi Zakrasnianaà franceinfo En arrivant en Moldavie, puis en Hongrie, j'ai suivi les cours de mon lycée de Kiev à distance, mais des professeurs devaient parfois arrêter le cours et courir pour s'abriter. On peut difficilement parler de cours normaux dans cette situation. Ici, en France, je prépare l'équivalent du bac ukrainien. C'est étrange, car je ne pourrai pas le passer. Il faut être en Ukraine pour cela. Pourrai-je retourner à Kiev dans un an ? Je n'en sais rien. Cela m'inquiète beaucoup, car il me faut cet examen pour poursuivre mes études. "Je ne peux créer que des œuvres liées à cette guerre" Tanya Cheprasova, 46 ans, Paris. Mon nouvel atelier est ici, à Paris. Ma place, c'est celle au fond, derrière le grand chevalet. Je viens tous les jours, du matin au soir. Je crée, je dessine, je peins. Vous avez vu à l'entrée, ça s'appelle "L'Atelier des artistes en exil". Ça porte bien son nom puisque j'ai quitté Kiev fin mars à cause de la guerre. J'ai pris peu de choses avec moi. Juste cette trousse rouge avec des crayons et des marqueurs que j'emmène partout, et ce dossier dans lequel je stocke des croquis. Je pensais que j'allais rentrer vite. Et ça fait cinq mois que je suis là. "Donc rien n'est à moi ici. Ni les tubes de peinture sur les étagères, ni les pinceaux sur la table. Ce pinceau que j'utilise beaucoup, je l'appelle "mon amour"." Tanya Cheprasovaà franceinfo En ce moment, je travaille sur des casques militaires, des vrais. Je les ai achetés ici et je les transforme. J'ai aussi ce portrait en cours. C'est une vieille dame originaire de Marioupol, une rescapée de l'Holocauste, qui a dû de nouveau fuir sa ville. Au début, l'adaptation artistique a été difficile. J'avais des blocages, je commençais quelque chose, j'arrêtais. Je pensais à mes parents qui sont toujours à Louhansk, dans le Donbass. A ma vie d'avant, d'artiste professionnelle. Il a fallu que je me réinvente, l'inspiration est arrivée récemment. A Paris, je suis entourée de très, très belles choses, l'architecture, les monuments. Mais en fait, je ne peux rien créer d'autre que des œuvres liées à cette guerre cruelle. Même si je mets de la sincérité, ces œuvres sont physiquement et psychologiquement assez difficiles à produire. Récemment, j'ai pu exposer dans l'atelier. Ça me fait du bien que le public français voie mon travail. Je garde aussi le lien avec le public ukrainien en publiant des photos sur les réseaux sociaux, c'est important pour moi. Car je vais bien rentrer un jour dans mon pays. D'ailleurs, quand je rentrerai, je ne rapporterai aucune de mes œuvres réalisées ici. Je laisserai aussi les pinceaux, même celui que j'appelle "mon amour". "Je réalise que mon père est mort" Oleksandra Zakrasniana, 40 ans, Alixan Drôme. Au troisième jour de la guerre, des soldats russes ont tué mon père dans le village où je suis née. Ils l'ont fusillé en public. Nous l'avons appris le soir même, alors que nous étions déjà en Moldavie. Nous n'avons pas pu l'enterrer. Son corps est sûrement dans une fosse commune, quelque part. J'ai cherché tous ceux qui étaient prêts à témoigner pour ce crime. Depuis la France où nous sommes arrivées le 13 avril, avec ma fille et ma mère, j'ai échangé avec plus de vingt personnes, localisé l'endroit où papa a été tué. Je suis repartie trois jours à Lviv témoigner auprès de la police et faire un test ADN pour tenter de retrouver son corps. Cela m'a occupée chaque jour pendant plus de deux mois. C'était mon devoir. Je ne pouvais pas ne pas le faire. Je serai soulagée quand nous aurons trouvé sa tombe, quand les coupables seront punis. Mon sentiment est impossible à décrire. J'ai eu une haine très forte envers les soldats russes. Je me demande "Pourquoi ?" Je réalise que mon père est mort. Mais il n'a pas pu être enterré, et cela empêche un processus de deuil. Perdre l'accès à son village natal, c'est aussi, en quelque sorte, un deuxième assassinat. Avec ma famille, nous voulons construire un monument en hommage à papa, à l'endroit précis où il a été tué. "Je n'ai pas encore tourné la page. Mes émotions vont d'un extrême à l'autre." Oleksandra Zakrasnianaà franceinfo Avec ma formation de psychothérapeute, je comprends ce qui se passe. Je cherche la motivation et la force pour recommencer à vivre de nouveau. Savoir que ma fille est en sécurité, avec moi, me donne de la force. Le soutien de nos proches et de la famille qui nous accueille aussi. Je vois le chemin parcouru ma fille est scolarisée, j'ai commencé les cours de français, je recherche un emploi. J'ai posé des bases sur lesquelles je pourrai m'appuyer. Si papa était en vie, il me dirait que j'ai sauvé le reste de la famille. J'ai réussi à amener maman en France. Elle est hospitalisée depuis un mois. Grâce à cela, j'ai pu prolonger sa propre vie. "J'aimerais que la France donne des visas aux étudiants étrangers" Bassem, 21 ans, Andrésy Yvelines. Je n'étais à Odessa que depuis trois mois quand la guerre a éclaté. Je suis tunisien et j'ai quitté mon pays pour suivre un doctorat de psychologie en Ukraine. Je venais à peine de commencer ma première année. J'aimais beaucoup la ville, mais je n'ai pas eu le temps de vraiment la découvrir. J'ai décidé de partir d'Ukraine avec un ami le 27 février, en car, en direction de la Moldavie, parce que l'on entendait constamment des bombes tomber. Mon ami avait peur. Moi non, je m'étais préparé à l'idée d'un départ. Nous n'avons passé qu'une seule journée en Moldavie avant d'arriver à Iasi, en Roumanie, où un avion affrété par mon pays devait décoller pour la Tunisie. J'ai décidé de ne pas monter dedans. "Je ne veux pas revenir en Tunisie, où il y a trop de problèmes de sécurité, l'éducation n'est pas au même niveau... Je n'y ai pas de futur." J'ai pris un train pour Bucarest où je suis resté trois mois. Puis j'ai passé trois semaines en Allemagne. Je m'y plaisais, mais il n'y avait aucune opportunité pour moi là-bas. Je suis finalement arrivé à Andrésy, dans les Yvelines, en juin, où j'ai rejoint un autre ami qui y habite. J'aime beaucoup Paris, je veux rester ici. Je cherche aussi du travail pour avoir un peu d'argent. Je peux tout faire, et j'ai entendu dire que certaines universités pourraient accepter des étudiants sans papiers. On verra si c'est vraiment le cas. Tout cela est très compliqué, car tous mes documents d'identité et mon diplôme sont restés en Ukraine. Je n'ai aucun moyen d'y avoir accès et je ne peux donc pas m'inscrire. Je veux demander le statut de réfugié, mais l'Etat français nous dit de rentrer chez nous, en Tunisie. J'aimerais que les autorités donnent des visas aux étudiants étrangers qui ont fui l'Ukraine et qui sont en France. Bien sûr, je ressens de la tristesse et je suis inquiet, mais je dois continuer à avancer. "Loin de ma maison, je ressens comme un vide" Elena Yarovenko, 46 ans, Viarmes Val-d'Oise. Où est mon foyer, où est ma maison aujourd'hui ? Marioupol et l'Ukraine sont dans mon cœur. C'est notre pays, nos traditions. Notre appartement à Marioupol, où j'ai vécu avec mon fils, a été détruit. Notre ville était moderne, touristique, notre vie était très confortable. Tout allait bien. A mes yeux, il était impossible qu'une guerre puisse avoir lieu au XXIe siècle. Et puis, il y a eu les premiers tirs. Le centre-ville est devenu un cauchemar. Des immeubles étaient partiellement dévastés, il y avait des flammes, des voitures détruites dans la rue. Nous vivions au sous-sol et n'avions plus d'électricité, nous manquions d'eau et de nourriture. C'était terrifiant. Maman ne voulait pas partir "C'est ma maison. Comment pourrais-je partir ?" me disait-elle. Elle est morte fin juin, quand nous étions en Pologne. J'avais besoin de fuir la guerre, mais aussi de fuir son décès. Nous sommes arrivés en France début juillet. En l'espace d'une seconde, j'ai découvert une nouvelle vie. Tout est nouveau. Je me sens un peu chez moi ici. Viarmes est une très belle ville, calme, et les gens sont accueillants. Nous essayons d'apprendre le français avec Grégory, qui nous a permis d'être hébergés. J'essaie de tout noter pour travailler la prononciation. Je peins chaque jour, je cuisine, je me promène au parc. "J'aime ce nouveau pays, sa langue, sa culture. Mais c'est un pays différent. Tout est différent." Elena Yarovenkoà franceinfo Et une part de moi dit "Je veux rentrer chez moi". Ces paysages qui m'entourent, ce n'est pas l'Ukraine. De nombreux amis sont toujours à Marioupol et ce qu'ils m'écrivent est terrifiant. D'autres sont en Allemagne, en Suisse, en Israël... Je veux rentrer chez moi. Je suis loin de ma maison, et je ressens comme un vide en moi. La France, comme l'Ukraine, sera peut-être dans mon cœur un jour. Mais j'ai besoin de temps pour cela. "On comprend que c'est difficile de vivre avec nous" Olga Vasylchenko, 51 ans, Toulouse Haute-Garonne. Je suis partie de Kiev le 17 mars avec mon fils de 15 ans, Myron. L'immeuble où j'habitais n'était pas loin de Boutcha et d'Irpin et les bombardements y étaient très intenses. J'ai choisi la France comme point de chute car je voulais un pays où mon fils puisse continuer ses études. J'ai trouvé une famille d'accueil grâce à Facebook. On a été très bien accueillis, mais la maison était située loin de tout. Le village le plus proche était à plus de 2 km. Heureusement, nos hôtes m'ont aidée à trouver une autre famille d'accueil, plus proche de Toulouse. J'ai été soulagée et j'ai pu inscrire mon fils au collège. Au début, tout s'est très bien passé avec cette nouvelle famille, mais au fil du temps, la situation s'est délitée. On a même interdit à mon fils d'ouvrir le frigo pour se servir à boire ou à manger. On m'a reproché d'être trop souvent absente… Je connais au moins une dizaine de femmes ukrainiennes qui m'ont raconté une expérience similaire. On comprend bien que c'est difficile de vivre avec nous, les réfugiés. Finalement, on nous a demandé de partir. Grâce à l'aide d'une association, on a pu trouver une autre solution d'hébergement. Un ancien monastère reconverti en centre d'accueil temporaire, en banlieue de Toulouse. Le problème, c'est que l'endroit est loin de tout. Il n'y a pas de magasins, un bus qui ne passe plus après 19 heures... Le pire, c'est qu'on se retrouve à 2 heures de voiture du collège de mon fils. "Je ne sais pas comment je vais régler ce problème, mais je vais le régler. Je n'ai pas le choix, car je veux que Myron puisse rester dans le même établissement." Olga Vasylchenkoà franceinfo Je veux aussi revenir en Ukraine, après la guerre. Mais il faut être réaliste, ça n'arrivera pas avant un ou deux ans. Je reste ici pour l'instant, parce que là-bas, Myron ne pourra pas recevoir l'éducation que je veux pour lui tant que la guerre n'est pas terminée. J'espère que nous pourrons trouver une solution de logement en France à long terme. Je ressens un désespoir total à cause de tout cela.

ClaireSi on reconsidère les choses Je ne suis pas ton idéal Ecoute ce que je te propose Descends-moi de mon piédestal Lydy Je ne suis pas celle qu'on dispose En jolie statue de cristal Je préfère quand tout nous oppose Sois mon rival Alexandra L'amour a tellement de visages A toi d'ouvrir les yeux Est-ce que tu envisages (tu envisages) Ensemble

Uneéquipe de TF1 est allée à leur rencontre dans plusieurs régions. Des Françaises et des Français qui ne se connaissent pas. Ils sont de différentes générations et de divers horizons. Originaires de Bretagne, Paris ou encore Marseille, ils ont pourtant la même conviction. Face au dérèglement climatique, il faut changer ses habitudes. Toutesles femmes de ta vie En moi réunies Ton âme soeur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie Glamour ou sexy L'héroïne de tes envies Je suis toutes les femmes, tu vois Toutes les femmes de ta vie Coralie Je ferai semblant de te croire Quand parfois je sais que tu mens Je ne ferai même pas d'histoires Si tes ex reviennent en courant Claire Je L5toute les femme de ta vie. avec les parolesdesoler si vous trouver des décalage c'est ma 1er videolaisser un petit com pour vos racco Toutesles femmes de ta vie. Toutes les femmes de ta vie. En moi réunies. Ton âme soeur, ton égérie. Parfois ta meilleure ennemie. Toutes les femmes de ta vie. Glamour ou sexy. L'héroïne de tes envies. Je suis toutes les femmes. Tu vois. Toutes les femmes de ta vie. Toutes les femmes de ta vie. En moi réunies. Ton âme soeur, ton égérie L5- Toutes les femmes de ta vie (2001) - Paroles de chanson - Musique - Clip - Une étincelle - Question de survie - - Toutes les femmes de ta vie (2001) - Voir le clip Jesuis toutes les femmes Tu vois toutes les femmes de ta vie. Toutes celles que je suis Sont là en moi Tu vois Si tu fermes les yeux Regarde en toi Regarde un peu tout ce que tu fais. Toutes les femmes de ta vie En moi réunies Ton amceur, ton égérie Parfois ta meilleure ennemie Toutes les femmes de ta vie L'amour est sexy L'heroïne de tes

Touten jonglant les rôles de mère, de femme dévouée, d'amante, de fille de parents vieillissants et sa vie professionnelle, Laurence tâche de se définir par rapport à ces images prédéterminées par la société qui sont parfois divergentes et problématiques. Laurence se demande tout au long du roman : « Qu'est-ce que les autres ont que je n'ai pas ? » [1] Laurence est une femme

1 Versets bibliques sur la bénédiction. Que l’Éternel te bénisse, et qu’il te garde ! Que l’Éternel fasse luire sa face sur toi, et qu’il t’accorde sa grâce ! Que l’Éternel tourne sa face vers toi, et qu’il te donne la paix ! Que l’Éternel te bénisse de Sion, Lui qui a fait les cieux et la terre ! Ecouteles conseils, et reçois l'instruction, Afin que tu sois sage dans la suite de ta vie. Job 22:22 Reçois de sa bouche l'instruction, Et mets dans ton coeur ses paroles. Jérémie 9:20 Femmes, écoutez la parole de l'Eternel, Et que votre oreille saisisse ce que dit sa bouche! Apprenez à vos filles des chants lugubres, Enseignez-vous des .